Le rassemblement à Copenhague de manifestants écologistes, alter-mondialistes, ultra-gauchistes, anarchistes a montré que pour la plupart d’entre eux, l’écologie n’est qu’un prétexte pour contester et détruire le monde démocratique et capitaliste occidental. Dommage que nos démocraties leur prêtent la main. Analyse de Michel Gâche, chercheur à l’IREF.
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L’étude La flat tax : une solution pour la France est à l’origine la préface du livre La Flat Tax. La révolution fiscale de Robert E. Hall et Alvin Rabuschka que l’IREF publie en collaboration avec l’association Contribuable Associés et l’European Center of Austrian Economics.
Des scientifiques obligés de se taire, disparition de messages dans les ordinateurs d’un grand Centre scientifique, les ayatollahs du réchauffement climatique veulent étouffer tout débat. L’IREF dénonce la censure et demande la transparence dans la recherche et l’information.
Le poste le plus lourd du budget examiné par le Parlement : 60 milliards d’euros pour l’enseignement scolaire et 24 milliards pour l’enseignement supérieur. La charge du contribuable est lourde ; en a-t-il pour son argent ? Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF en doute. Les réformes introduites ou prévues pour les Universités françaises s’inspirent du principe de gratuité et aggravent l’assistanat, alors que les étudiants ont besoin d’un apprentissage de la responsabilité pour réussir leur vie active.
Par opposition à l’impôt progressif, la « flat tax » est proportionnelle, c’est-à-dire qu’elle applique un même taux d’imposition à tous les revenus imposables.
Elle met ainsi fin à toutes les discriminations par revenu, groupement ou composition du foyer fiscal. La flat tax est un sujet de discussion quotidien aux Etats-Unis, notamment pour simplifier le vieux code fiscal actuel; elle est déjà entrée en vigueur dans des pays comme la Russie, l’Estonie ou encore la Slovaquie.
Les députés français ont repoussé (avec regret) la proposition de surtaxe de 10 % des profits des banques. Mais dans le monde entier, l’idée à la mode est de faire payer les banques, pour les obliger à contribuer aux opérations de sauvetage dont elles ont bénéficié, puisqu’en raison de leur taille leur faillite serait un drame. Mais pourquoi le gigantisme bancaire ? Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, donne la réponse.
Occupé à traquer les entreprises privées, l’Etat en oublie ses propres ouailles. A l’Education nationale, la médecine du travail n’existe même pas. Ce n’est pas étonnant : personne ne contrôle l’Etat. Enquête de Guillaume Blondin pour l’IREF.
Programmer un déficit égal à quelque 9 % du PIB est déjà en soi d’une certaine audace. Mais l’audace devient de l’inconscience quand le niveau de la dette publique dépasse largement 80% du PIB. Analyse du Pr. Jacques Garello, administrateur de l’IREF et président de l’ALEPS.
Programmer un déficit égal à quelque 9 % du PIB est déjà en soi d’une certaine audace. Mais l’audace devient de l’inconscience quand le niveau de la dette publique dépasse largement 80% du PIB. Analyse du Pr. Jacques Garello, administrateur de l’IREF et président de l’ALEPS.
L’IREF rend publique la lettre du président de l’Association des Conservateurs des Hypothèques demandant une hausse de leurs rémunérations au Directeur général de Bercy. En pleine crise économique et alors que le privé étouffe sous les prélèvements obligatoires et s’enfonce dans le chômage, ces grands privilégiés touchent déjà plus de 21 000 euros par mois. Et ils en veulent encore plus. Scandaleux.