Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a demandé la mise en place d’un groupe de travail afin d’étudier les différents scénarios proposés par le Haut Conseil pour l’avenir de…
sécurité sociale
Quelques semaines après que la Cour des comptes a refusé de certifier les comptes de la Sécurité sociale, un député LREM, Thomas Mesnier, a déposé une proposition de loi visant…
En octobre 2020, le journal de l’Île-de-la-Réunion révèle que Dhoihir Dhoulkamal, nommé ministre des Affaires étrangères de l’Union des Comores, a réussi à se faire passer pour un ressortissant français d’origine mahoraise sans revenu et de ce fait éligible aux dispositifs RSA et CMU.
Un événement qui ravive notamment le débat sur l’aide médicale d’État (AME), qui agite la société française depuis plus de dix ans. Débat houleux souvent mais qui se limite aux plateaux de télévision. En réalité, rien ou presque n’a été mis en œuvre pour endiguer son impact faramineux sur les finances publiques, alimenté par l’effet de pompe aspirante pour l’immigration.
Une proposition de loi pour restreindre l’accès des étrangers en situation irrégulière à l’assurance maladie
L’Assemblée nationale examine ce mardi 15 juin une proposition de résolution relative à la couverture santé des étrangers en situation irrégulière et des demandeurs d’asile provenant de pays d’origine sûrs…
A l’approche des élections présidentielles de 2022, plusieurs candidats se démarquent dans les sondages. Malheureusement, de Marine Le Pen à Emmanuel Macron, en passant par Xavier Bertrand et Anne Hidalgo, l’antilibéralisme est surreprésenté. Le parti Les Républicains devrait présenter son propre candidat. Mais qui ? Bruno Retailleau, ex-bras droit de François Fillon, qui ne dépasse pas 8 % dans les sondages ? David Lisnard, dont le discours libéral rafraîchissant fait le tour des plateaux ? On ne le sait pas encore. Mais peut-être le candidat libéral attendu viendra-t-il d’un autre parti.
Rafik Smati, président du parti Objectif France, trace son sillon à droite. Bien que ses interventions dans les médias soient réduites à celle du commentaire d’actualité, ses propos détonnent. Qui plus est, Objectif France a absorbé l’ancien parti libéral-démocrate d’Aurélien Véron. De quoi aiguiser notre curiosité. Nous nous sommes alors penchés sur le programme de son mouvement.
Alan, une start-up de l’assurance santé ou le symbole de ce que peut faire le marché sans l’Etat
Une start-up française spécialiste de l’assurance santé, Alan, a levé 185 millions d’euros auprès d’investisseurs français et étrangers. La start-up est parvenue à s’imposer dans un marché très concurrentiel en…
La confédération helvétique, petit pays de 8.45 millions d’habitants, est éminemment riche. Sa réussite économique tient en quelques éléments, une forte attractivité pour les entreprises, une population éduquée et une industrie de pointe. L’industrie représente à elle seule 20,3% du PIB. Malgré, un coût salarial élevé, la Suisse reste un pays exportateur de produits manufacturés à forte valeur ajoutée (produits pharmaceutiques et horlogerie de précision). En 2018, elle a exporté pour 452 milliards de biens [[Swiss info : l’économie d’exportation suisse brave tous les vents contraires (2019)]] et de services, soit un tiers de sa production totale.
Le gouvernement fédéral et les gouvernements cantonaux assurent une gestion rationalisée de leurs budgets. La dette fédérale s’élevait en 2019 (avant Covid) à 25,8% du PIB. Les Suisses ont une phobie de la dette : sur les dix dernières années, le gouvernement fédéral a mené une politique de réduction des dépenses afin de dégager des excédents, 70% desquels ont servi à la rembourser. Le pays a abordé la crise avec des finances saines et a donc pu soutenir son économie sans faire exploser le plafond de la dette. Le budget public, excédentaire de 1,4% avant crise, va néanmoins être fortement impacté par les mesures de chômage partiel.
Le 3 décembre 2020, Adrien Taquet, secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, a demandé aux députés En Marche de ne pas voter une loi, initiée et décidée précédemment par le Sénat, créant une carte Vitale « biométrique », c’est-à-dire enregistrant les empreintes digitales de l’assuré. Cette loi n’a donc pas été votée par l’Assemblée nationale.
Un sondage Gallup effectué dans les jours qui ont suivi la certification du vaccin de Pfizer et BioNTech montrait que seuls 63 % des Américains acceptaient d’être vaccinés contre le Covid-19. La situation est similaire dans les autres pays occidentaux. Un article publié par Nature Medicine en octobre dernier a rendu compte d’une enquête auprès de 13 426 personnes dans 19 pays sur leur acceptation ou non du vaccin et les raisons de leur choix. 71,5 % des participants ont déclaré qu’ils seraient susceptibles de se faire vacciner contre le COVID-19.
« Attestation de déplacement dérogatoire durant les horaires du couvre-feu », « Attestation de déplacement et de voyage », « Justificatif de déplacement professionnel », « Guide relatif au fonctionnement des écoles et établissements scolaires dans le contexte Covid-19 », « Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de Covid-19 »…
Nous pourrions continuer longtemps la liste avec, par exemple, les kits de lutte contre la Covid-19 élaborés par le ministère du travail : il en existe pour les bouchers-charcutiers-traiteurs, le travail en pharmacie, en drive, en caisse, en animalerie, en boulangerie, dans un commerce non alimentaire, etc.
Nous pourrions évoquer le « Guide phase 1 de l’organisation de la vaccination contre la Covid-19 en EHPAD et USLD » (45 pages). Nous pourrions aussi traiter des formalités et du formalisme dont sont assorties les demandes de prêt garanti par l’État (PGE), de report des échéances sociales et fiscales, de remise d’impôts, d’aide du fonds de solidarité, de mise en place du chômage partiel, etc.