François Bayrou s’alarme de la baisse des naissances, qui dure maintenant depuis plus de dix ans. Selon lui, cette baisse de la natalité est une “bombe sociale”. En effet, les…
modèle social français
Les mesures sanitaires imposées depuis un an montraient déjà l’incompétence du gouvernement à mettre en place une politique de crise efficace. Mais il ne se contente plus de laisser l’hôpital…
Rapport de la Cour des Comptes : l’hôpital public ne s’est pas adapté à la crise, il a improvisé
C’est la Cour des comptes qui l’observe, dans son rapport public annuel 2021. Les sages financiers estiment que, durant la crise sanitaire, « les soins critiques ont su s’adapter rapidement face à l’urgence, au prix d’une improvisation organisationnelle et de déprogrammations massives ». Malgré un rapport plutôt complaisant qui essaye d’atténuer la réalité, la Cour des comptes pointe des problèmes conséquents.
Cette adaptation/improvisation et le manque de vision à long terme ont engendré, au-delà des déprogrammations d’opérations et de rendez-vous médicaux pouvant avoir de graves effets, une politique sanitaire qui se cale sur l’engorgement des services de réanimation. Ainsi, le troisième confinement ne s’est pas décidé en fonction du nombre de cas de Covid et de décès, mais selon la situation hospitalière.
Pour avoir un système de santé qui s’adapte réellement aux crises, il faudrait une grande réforme, et non de simples rallonges budgétaires pour éponger une dette structurelle. Il en va de la santé de tous les Français.
Après le premier volet du « Ségur de la santé » où le gouvernement a distribué l’argent du contribuable à hauteur de 8.2 milliards d’euros pour revaloriser les soignants, c’est un nouveau plan à 19 milliards visant une « refonte » du système hospitalier français qui voit le jour. En somme, des milliards pour ne rien changer ; une « réformette » dont le gouvernement a le secret. Pourtant, une réforme du système de santé est cruciale et urgente ! La crise du Covid-19 nous montre tous les jours les limites de notre modèle qui est loin d’être le meilleur du monde… C’est un changement d’ampleur auquel doit se préparer l’hôpital français. Et ce n’est pas en déversant de l’argent public à tout va que le monde hospitalier ira mieux.
Prophétie ? Lucidité ? Un temps pour la guerre et un temps pour le remords ? Telles sont les constats de cette très jolie nouvelle de Philippe Claudel.
Samedi soir dernier, le gouvernement fanfaronnait en annonçant 675 378 doses de vaccin injectées en trois jours. On se réjouissait enfin d’une accélération de la vaccination. Mais le soufflet est…
Le 3 décembre 2020, Adrien Taquet, secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, a demandé aux députés En Marche de ne pas voter une loi, initiée et décidée précédemment par le Sénat, créant une carte Vitale « biométrique », c’est-à-dire enregistrant les empreintes digitales de l’assuré. Cette loi n’a donc pas été votée par l’Assemblée nationale.
« Tout est poison, rien n’est poison : c’est la dose qui fait le poison », cette observation, au XVIème siècle, de Philippus Aureolus Theophrastus Bombast von Hohenheim, plus connu sous le nom de Paracelse, est encore vraie au titre des dépenses sociales. Efficaces à petites doses, les dépenses sociales empoisonnent un pays à dose plus élevée. Pourquoi ?
Le retard dans la vaccination en France, le « collectif citoyen » et le souvenir de l’affaire du sang contaminé
Les échecs de l’Etat français durant cette pandémie sont de plus en plus nombreux et la démagogie des politiques n’a plus de limites. Avec la vaccination contre la Covid, on atteint des sommets !
L’une des principales caractéristiques des pays communistes est la pénurie. Partout où l’on a mis en place le marxisme, où l’on a aboli la propriété privée et nationalisé les entreprises, l’économie s’est effondrée et les produits ont commencé à manquer. Les politiques français semblent avoir trouvé encore mieux. Ils nous empêchent d’avoir accès à certains articles même s’il n’y a pas de pénurie. Le gouvernement a décidé de fermer les rayons non essentiels dans les grandes surfaces, plutôt que d’autoriser les petits commerces à rouvrir.