La France ne cherche pas des solutions pour sortir de la crise mais cherche des OVNIS. Ce n’est pas une blague. Le GEIPAN est le Groupe d’Études et d’Information sur…
marché du travail
En 1983, Jean-Pierre Chevènement démissionnait du poste de ministre de la Recherche pour protester contre « la parenthèse libérale » du deuxième gouvernement Mauroy. Fin août 2014, Arnaud Montebourg est limogé du poste de ministre de l’Economie pour avoir demandé un changement de la politique économique du gouvernement qu’il considère comme pro-entreprises (c’est-à-dire libérale). Les deux exemples montrent l’aversion des politiques envers le libéralisme économique. Et, dans les deux cas, les ministres se trompent.
Jean-Philippe Delsol, président de l’IREF, a été interviewé (18/08) par Sud Radio sur la fiscalité française et la hausse du chômage.
Lucas Léger, chargé de mission à l’IREF, était l’invité (28 juillet) de l’émission Les Matins d’été animée par Nicolas Martin sur France Culture. Le débat (avec Anne Eydoux, Les économistes…
Jean-Philippe Delsol, président de l’IREF, a été interviewé (23 juillet) par la chaîne britannique BBC sur le statut et les privilèges des intermittents. Lire : Avignon shows hit as France…
Malgré tous les efforts de communication mis en œuvre par Arnaud Montebourg, le ministre est à la peine pour attirer les capitaux étrangers nécessaires à la réindustrialisation. D’autant que le patriotisme économique ne suffit pas à combler ces manques. La France a besoin d’investissements pour développer son économie, mais le dernier rapport de la CNUCED (Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement) est plutôt alarmant.
L’IREF à l’Assemblée nationale
Dans une Etude récente, l’IREF a montré que moins de 10 % des députés et sénateurs connaissaient vraiment l’entreprise privée. Et que seulement 17 députés de l’actuelle législature pouvaient être considérés comme chefs d’entreprise. La situation est sensiblement différente ailleurs. En Grande-Bretagne, sur 621 élus (« Members of the Parliament »), 25,1 % sont chefs d’entreprise et 13.5 % sont cadres dans le privé. Seulement 9 % proviennent du secteur public (fonctionnaires, enseignants, employés, etc.).
La vraie conférence sociale c’est la réforme : Code du travail, licenciement, apprentissage, IS et allocation-chômage
Alors que les syndicats boycottent le « dialogue social » et que le gouvernement se perd dans les promesses et les fausses mesures, il est temps de mettre fin à cette mascarade idéologique en adoptant de vraies réformes à l’image de ce qui est fait dans d’autres pays. Manuel Valls pourrait d’ailleurs profiter de l’absence des syndicats pour agir. C’est même une chance historique. A partir de ses Etudes et Rapports, l’IREF propose plusieurs pistes pour réformer – enfin – le marché du travail.
L’article de Nicolas Lecaussin consacré à la conférence sociale a été repris par le site FigaroVox (7 juillet) et aussi par le quotidien Le Figaro (8 juillet). Documents joints
Dans un document intitulé « Le défi de la compétitivité », l’ancien Premier ministre François Fillon propose une série de mesures audacieuses qui s’apparentent, en partie, à un vrai programme libéral.