Le livre de l’IREF Anti-Piketty traduit aux Etats-Unis est présenté par David Gordon sur 3 pages dans The Austrian, la revue du Mises Institute. Lire.
fonctionnaire(s)
La Cour des Comptes vient de dénoncer le monde incroyable des hautes rémunérations à Bercy. Ceux qui ont la prétention de demander aux contribuables de respecter la loi n’hésitent pas à la contourner dès qu’il s’agit de leurs propres intérêts. Le système doit cesser !
Toujours plus d’impôts, toujours plus de fonctionnaires et toujours plus d’Etat !
L’article de Nicolas Lecaussin sur la réforme de l’Etat et le nombre de fonctionnaires en France est publié par le quotidien l’Opinion dans son édition du 20 décembre.
Fort loin des promesses du candidat de droite, mais sentant pourtant la nécessité électorale d’un marqueur de sa volonté de réduire la dépense publique, le programme Macron avait prévu la suppression de 120 000 postes de fonctionnaires – 50 000 pour l’État, 70 000 pour les autres collectivités publiques – sur toute la durée du mandat présidentiel.
Les privilèges et autres avantages dont bénéficient les fonctionnaires seraient des « idées reçues ». C’est la conclusion d’une Enquête réalisée auprès des salariés du privé et aussi des … fonctionnaires.
Les rémunérations des fonctionnaires répondent à des règles rigides. Cela ne semble convenir à personne si l’on en croit les plaintes continues des syndicats. Et c’est de façon bien centralisée que ces rémunérations sont gérées. L’évolution des dépenses publiques et donc de nos impôts tiennent donc à une simple décision ministérielle qui ne doit rien à la concertation en assemblée.
Mais quand la France va-t-elle réformer sa Fonction publique ? Notre système est le plus privilégié et le seul à ne pas avoir été corrigé après la crise de 2008. Voici quelques données qui devraient inciter les Pouvoirs publics à agir.
Nicolas Lecaussin est l’invité (8 septembre) de Sud Radio (émission Seul contre Tous) à propos de la baisse du nombre de fonctionnaires. Ecoutez.
Comment peut-on demander à d’autres pays de changer leur marché du travail ou leur politique sociale, si l’on n’est pas capable de le faire chez soi ?
Lors du débat télévisé du 4 avril dernier réunissant les onze candidats à l’élection présidentielle, on est resté sidéré de l’opposition fondamentale et déclarée de plus d’un tiers des candidats non seulement à tout ce qui de près ou de loin pourrait ressembler à une économie de marché, mais et c’est plus grave à toute rationalité économique. En effet aucun d’entre eux n’a craint d’engager le carrosse de l’État dans des mesures toutes plus ruineuses les unes que les autres, sans jamais se soucier d’un financement qui ferait allègrement franchir à nos dépenses publiques la barre jamais atteinte des 60% du PIB.