En février dernier, la Cour des comptes avait été missionnée pour travailler sur les priorités de l’action publique après la crise sanitaire. Habituée à préconiser des mesures d’austérité, la Cour…
finances publiques
Le journal suisse Le Temps consacre un article à l’étude de l’IREF portant sur la fiscalité comportementale.
Projet de loi de finances rectificatives : le « quoi qu’il en coûte » n’a pas de limites
Le projet loi de finance rectificative (PLFR) pour 2021 a été adopté vendredi dernier à la l’Assemblée nationale par 38 voix contre 2. Le texte prévoit notamment l’engagement de 15,5…
579 partis politiques, majoritairement inactifs, perçoivent 66 millions €
En 2020, le nombre de partis politiques en France était de 579. Si, parmi ces formations, figurent les grands partis politiques comme de plus petits, on trouve surtout des micro-formations…
Est-ce que la fiscalité dite « comportementale » est efficace ? Prend-on le temps d’analyser ses succès et ses échecs ? Tire-t-on des enseignements des expériences étrangères ? Remet-on en question sa pertinence au gré des avancées scientifiques d’une part, et des innovations d’autre part ?
Cette étude a l’ambition de répondre à ces questions.
La France s’enfonce : 9,4 % de déficit public prévu pour 2021
C’est le ministre de l’économie qui l’a annoncé ce lundi 31 mai. Sur le plateau des 4 vérités de Télématin, Bruno Le Maire a expliqué que le déficit public atteindra…
Les dépenses des États membres de la zone Euro sont régies depuis 1997 par le Pacte de stabilité et de croissance (PSC) qui, étant inscrit dans les traités européens, les oblige à maintenir un budget excédentaire ou à l’équilibre sur le moyen terme. Depuis 2005, ils sont en théorie tenus de contenir leur déficit à moins de 3%, et leur endettement à moins de 60%, du PIB. Peu d’Etats l’ont respecté et la France est même l’un des plus mauvais élèves.
Nous nous sommes procuré la brochure de campagne de Valérie Pécresse, nous l’avons feuilletée avec une certaine perplexité. D’une part, la candidate aux régionales vante son action durant la crise…
Professeur agrégé d’économie et enseignant à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, François Facchini publie un ouvrage bienvenu sur les dépenses publiques. Depuis plus d’un siècle, celles-ci ont enflé partout, essentiellement du fait des dépenses sociales, les dépenses régaliennes restant pour leur part relativement stable en proportion de la richesse nationale. Mais la situation française est singulière car si « la plupart des pays de l’OCDE ont vu leur ratio dépenses publique sur PIB baisser durant les années 1970, ce n’est pas le cas de la France, qui a connu une légère stabilisation au milieu des années 1990, mais un retour à la hausse dès les années 2010 » (p. 66). François Facchini en cherche l’explication en élargissant son examen à l’ensemble des pays francophones. Son ouvrage a le double mérite d’être universitaire, rigoureusement démonstratif, tout en étant suffisamment didactique pour que des lecteurs avisés sans être spécialisés puissent le lire avec grand intérêt.
La dette atteint près de 116 % du PIB ! Sans réformes, la France fonce dans le mur
C’est officiel, la dette publique de l’État français s’élève désormais à 115,7 % du PIB, soit plus de 2 650 milliards d’euros. Le déficit public était de 9,2 % du…