Le numérique prend une place de plus en plus importante dans nos vies, au grand dam des écologistes qui accusent ces nouveaux comportements d’être très polluants. Mais les chiffres montrent que cette pollution est infime par rapport au bénéfice qui en est retiré… y compris pour la planète.
changement climatique
Pour atteindre les objectifs des Accords de Paris, il faudrait au moins 10 années de confinement
Dans son rapport de novembre 2019, le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) avertissait que les émissions mondiales de gaz à effet de serre devraient diminuer de 7,6 %…
Le rapport de 3.949 pages consacré aux connaissances disponibles sur la science du climat et publié par le GIEC cet été 2021 a été largement commenté. La conclusion de son « résumé pour les décideurs » fait peur : « Le réchauffement global de 1,5°C à 2°C sera dépassé au cours du 21ème siècle sauf si de profondes réductions des émissions de CO2 ont lieu dans les décennies à venir ». Pourtant, d’autres relativisent la situation.
Les catastrophes naturelles sont-elles plus destructrices à cause du réchauffement climatique ? Non !
La tempête Ida et les inondations à New-York ont été l’occasion pour bon nombre de journalistes, d’éditorialistes et de bonnes consciences sur les réseaux sociaux de nommer le coupable : le réchauffement climatique. Responsable de tous les maux, il fait même exploser le nombre de catastrophes naturelles et leur caractère destructeur. Les rapports du GIEC (que certains considèrent comme les saintes écritures) prédisent même qu’elles seront encore plus nombreuses et plus violentes dans les années à venir. La réalité des faits laisse cependant planer quelques doutes sur les arguments de l’émotion.
Le froid tue 1,3 million de personnes dans le monde contre 356 000 tuées par la chaleur
La revue scientifique The Lancet vient de publier une étude intéressante. Les écologistes prédisent que le réchauffement climatique tuera en masse. Or, il semble que ce soit le froid qui…
La sphère médiatique nous habitue, depuis quelques années, à relayer les records de chaleurs battus dans certains endroits, ou relevés sur une période donnée. Combien de fois ces dix dernières…
Une lecture attentive du rapport lui-même, qui est moins politique et plus scientifique que le « résumé pour les décideurs », donne des arguments à la thèse inverse, selon laquelle l’influence humaine sur le climat est faible.
Le traitement réservé aux théories dissidentes laisse à penser que le “consensus” sur l’origine anthropique du réchauffement climatique doit plus à l’idéologie qu’à la science, souligne Jean-Philippe Delsol, avocat et président de l’Institut de recherches économiques et fiscales (IREF). Edito.
Delphine Batho appelle à la décroissance pour sauver la planète
Petit à petit, l’oiseau fait son nid, et les partisans de la décroissance prennent de plus en plus de place dans les médias et les opinions. En début de semaine,…
Rapport du GIEC : contrairement à ce qu’on dit, la situation est loin d’être catastrophique
Steve Koonin, scientifique et ancien conseiller climat d’Obama, auteur d’un essai présenté récemment par l’IREF, vient de publier un article dans le Wall Street Journal dans lequel il fait un résumé du dernier rapport du GIEC qui est beaucoup moins catastrophique que ne l’ont fait croire la plupart des médias et des politiques. C’est important car ce rapport devrait retenir toute notre attention. Il sera un élément crucial lors de la prochaine Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques qui se tiendra à Glasgow et où les dirigeants de 196 pays se réuniront en novembre. Voici les principales conclusions tirées par Koonin.