Six ans après la COP 21 et la signature de l’accord de Paris, la COP 26 (conférence des parties) doit permettre de dresser un premier bilan de ce texte fondateur et d’ « accélérer les efforts contre le réchauffement climatique dont les effets se font de plus en plus ressentir ».
L’introduction a fermement posé les jalons. Le président de la COP 26, le Britannique Alok Sharma, a rappelé les enjeux dans son discours. « Le rapport du Giec a été une piqure de rappel. Tous les signaux sont au rouge. Il y est clair que l’activité humaine est sans ambiguïté la cause du réchauffement climatique, a-t-il déclaré. On sait que la planète que nous partageons change pour le pire ».