90 minutes , c’est le temps dont disposaient le 7 septembre les membres de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale pour prendre connaissance, amender éventuellement et adopter (surtout) le…
Nicolas Lecaussin
Nicolas Lecaussin
Directeur de l'IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l'IFRAP (Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques), fondateur de l'association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques. Auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont : Cet État qui tue la France (Plon, 2005), L’absolutisme efficace (Plon, 2008), Au secours, ils veulent la peau du capitalisme ! (First Editions, 2009), A quoi servent les riches, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Lattès, 2012), L’obsession antilibérale française (Éditions Libréchange, 2014), Anti-Piketty, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions Libréchange, 2015), Echec de l'Etat, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions du Rocher, 2017), Les donneurs de leçons (Éditions du Rocher, 2019).
L’infatigable Tom G. Palmer, Vice-président d’ Atlas Foundation et Senior Fellow au Cato Institute, a distribué ce petit livre dans le cadre de l’Université d’été de la Nouvelle Economie qui s’est tenue à Aix-en-provence fin août.
C’est une lecture obligatoire pour ceux qui veulent défendre le capitalisme contre ses détracteurs. Il ne s’agit pas seulement du capitalisme en économie mais aussi de celui en philosophie, histoire et littérature. Ce système, il ne faut pas l’oublier, est le seul qui crée des richesses et qui favorise l’innovation. C’est ce qu’écrivent toutes les personnalités réunies dans ce livre parmi lesquelles Mario Vargas Llosa, Vernon Smith, John Mackey, David Kelley, Leonid V. Nikonov et bien d’autres. Le capitalisme est bien le seul qui fonctionne. Il ne faut pas l’oublier. Est-ce un hasard ? Non, suggèrent les auteurs : il correspond à la nature des êtres humains et permet leur épanouissement. Achetez le livre .
En 2009, le président Obama avait lancé un programme de relance de plus de 700 Mds de dollars ainsi qu’une grande réforme du système de santé américain dont le coût atteindrait 2 000 Mds de dollars. Aujourd’hui, le Census Bureau (Organisme de statistiques américain) vient de publier les chiffres de la pauvreté aux Etats-Unis qui montrent une aggravation importante depuis 2008.
Ils sont trois à avoir fait des déclarations sur les dépenses publiques. Trois personnalités. Le lucide c’est Manuel Valls, candidat à la primaire PS, qui a déclaré sur le site de Express.fr que « Notre réponse ne peut pas être la dépense publique ». Ila rajouté qu’il faudrait « une nouvelle réforme des retraites plus adaptées au parcours individuel de chacun, une retraite à la carte ».
Cet article écrit par Nicolas Lecaussin et intitulé « What’s the matter with the French Banks ? » a été publié (13 septembre) par le quotidien The Wall Street Journal dans ses deux éditions, américaine et européenne.
A l’occasion de la réunion du G7 à Marseille, la journaliste Francine Lacqua de Bloomberg TV a interviewé Pierre Garello, Directeur Europe de l’IREF. Voir la vidéo.
Il y a trois ans, le président Obama lançait un plan d’aide à l’économie de 825 Mds de dollars. Aujourd’hui, il annonce un nouveau plan pour de lutte contre le chômage qui coûterait environ 300 Mds de dollars. Mais pourquoi le premier plan n’a pas marché et pourquoi la méthode keynésienne de relance économique ne peut pas fonctionner ? Ce sont les questions auxquelles répondent dans une étude deux chercheurs du Mercatus Center de l’Université George Mason.
Le Wall Street Journal publie un long article sur les récentes découvertes dans le domaine des changements climatiques, domaine, ô combien, sensible et phagocyté par les idéologues. On apprend dans…
Dans son discours de clôture de l’Université d’été de l’UMP, François Fillon a invité les Français à la « lucidité » et à l’ »esprit citoyen ». Il leur a demandé d’être « responsables et d’accompagner l’action publique », de « mesurer les limites de nos droits ». Belle paroles, Monsieur le Premier ministre. Sauf qu’elles s’appliquent à l’Etat et aux fonctionnaires.
N’en déplaise aux critiques gauchisants, notre niveau de vie n’a cessé de s’améliorer sous le capitalisme. Un long article du Wall Street Journal révèle de nouvelles statistiques et fait le point sur les avancées de la science. Sommes-nous en train de devenir immortels ? A voir ce qui s’est passé depuis l’apparition de l’Homme on peut l’espérer… L’homme de Cro-Magnon vivait en moyenne18 ans, celui du Moyen Age, 30 ans. En 1830, la vie s’arrêtait en moyenne à 43 ans. Aujourd’hui, c’est à 78 ans et en 2300, ce sera….101 ans. Entre le début et la fin du XXe siècle, notre espérance de vie est passée de 57 ans à 79 ans. Un gain de 22 ans en moins d’un siècle ! Presque 6 millions d’Américains ont plus de 85 ans et le nombre de centenaires ne cesse d’augmenter. Ils seront plus 600 000 en 2050. En réalité, notre vie ne cesse de s’améliorer. Le capitalisme et l’économie de marché tant honnis y sont pour quelque chose. Gare à ceux qui veulent les « réformer ».
(Sonia Arrison, WSJ, 2-4 sept, Résumé, Lire l’article ).