L’idée que le Covid 19 se soit échappé d’un laboratoire de Wuhan semble possible, même si elle n’est pas encore totalement démontrée ni admise par le gouvernement chinois. Le site chinois antigouvernemental The Epoch Time a publié un documentaire d’investigation très circonstancié produit par l’équipe chinoise NTD de New York sur l’origine du Coronavirus dans ce laboratoire de Wuhan. Nous ne pouvons pas imaginer que ce virus ait été dispersé volontairement, mais le danger existe toujours qu’un laboratoire de recherche laisse s’échapper un mauvais virus par une erreur, très grave, de procédure.
Santé
Alors que l’Etat et les ARS (agences régionales de santé) organisaient le déplacement de malades, en TGV de l’Est vers le Sud, par avion vers l’Allemagne ou la Suisse, et qu’un hôpital militaire était monté en urgence, les cliniques privées, auxquelles on avait demandé de faire de la place, se retrouvaient en sous-capacité.
L’IREF est contre la bureaucratie et les réglementations excessives et en faveur des libertés et de la responsabilité. Notre Institut privilégie aussi la recherche académique et scientifique. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de publier cette tribune argumentée d’un jeune chercheur qui attire l’attention, à juste titre, sur l’importance des études et de la recherche médicales.
Coronavirus : trois fois plus de morts dans les pays confinés que dans les pays non-confinés
Dans les pays les plus confinés, la Belgique (depuis le 18 mars), l’Italie (depuis le 8 mars), l’Espagne (13 mars) et la France (17 mars), on bat des records de décès. Nous sommes (19 avril), : en Belgique à plus de 5400 morts (470.5 décès/1 million d’habitants) ; en Espagne à plus de 20 000 morts (441/1 million) ; en Italie à plus de 23 000 (384/1 million) ; et en France à plus de 19 000 (296/1 million).
Trop technocratique et centralisé, le modèle français complique la lutte contre le virus
Les études de l’IREF citées dans Le Figaro (17 avril). Lire.
Services de santé saturés, confinement généralisé, chute de l’activité productive : ce scénario catastrophe, personne n’avait osé l’envisager. Ce maudit virus nous éprouve sur tous les fronts. Les témoignages des soignants en première ligne sont accablants. Les pénuries de masques, de gels hydroalcooliques, de tests et de machines respiratoires sont partout flagrantes. Pourtant l’État ne semble pas à la hauteur de la crise bien qu’il se soit arrogé tous les pouvoirs.
Depuis plus d’un mois, le nombre d’experts augmente encore plus vite que le nombre de décès causés par le coronavirus. Il y a des spécialistes en épidémies et autres infections de tous bords, ceux qui veulent généraliser le traitement du professeur Raoult et ceux qui mettent en doute son efficacité. Il y a le président Macron qui n’a pas respecté le confinement pour rendre visite au docteur Raoult à Marseille. A-t-il été impressionné par la popularité croissante de ce médecin qui donne espoir aux Français ?
Nous supportons aimablement les 6 millions de décès annuels dans le monde de bronchopneumopathies obstructives chroniques et d’infections des voies respiratoires inférieures (source OMS). Et là, tout à coup, l’univers tremble de peur, s’effondre d’anxiété, s’enferme, se terre, refuse de travailler…parce qu’il y a un mauvais virus qu’on ne connaît pas. Il n’a rien à voir pourtant avec nos anciennes épidémies de suette anglaise, typhus, variole, grippe pulmonaire et autre choléra qui décimaient parfois la moitié de la population des villes, quand pour le moment le nombre de morts en France représente moins de 2% du nombre de morts annuels. Certes ce chiffre augmentera. Mais comment la peur a-t-elle pu conduire aussi vite à immobiliser le monde ?
Si la Chine est coupable d’avoir caché la réalité et de nous avoir fait perdre du temps face à l’épidémie, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) est au moins aussi coupable de la tragédie que le monde est en train de vivre. Au fil des années, cette organisation a été de plus en plus infiltrée par la Chine qui a toujours eu intérêt à masquer la situation médicale chez elle et à contrôler une organisation présente pratiquement dans tous les pays du monde.
Les hôpitaux français emploient presque 34% de personnes n’ayant aucune tâche médicale
C’est même 54% de plus que les établissements allemands, équivalent temps plein. Pour un groupe comme l’APHP, cela représenterait 1,54 mds €, ou une source d’économie d’un demi-milliard d’euro environ si l’on en revenait au taux observé en Allemagne.