2 135 362 315 euros sont inscris au budget des annexes de la loi de finance 2017 pour les missions de contrôle et d’exploitation aériens. C’est deux fois plus qu’au Royaume-Uni ! La loi fixe à 10 679 le nombre maximum des emplois (équivalent temps plein) autorisés dans ce secteur, soit 200 000 € par personne. Malgré ce budget conséquent, la DGAC a recours à la dette afin de financer des dépenses de fonctionnement, selon la Cour de comptes qui n’a pas manqué de critiquer cette gestion. Pourquoi ne pas la privatiser ?
Libéralisme
La Croisette était sous le choc. Netflix présentait au festival de Cannes deux films, qui, de par le fonctionnement du « géant » américain, ne seront pas diffusés dans les salles obscures. La Fédération nationale des cinémas français avait d’ailleurs réagi, brandissant l’exception culturelle dès le mois dernier et faisant enfler la polémique. Cannes ne fera donc exception à l’exception que cette année : dès 2018 les choses rentreront dans l’ordre et tout film présenté au Festival devra avoir un engagement de distribution en salles. Netflix, qui a énormément investi dans le cinéma… « à la demande » est venu, comme d’autres, faire bouger les lignes d’un secteur quelque peu ankylosé et sans doute, surtout en France, un peu trop bureaucratisé.
Effort, mérite, travail, responsabilité, subsidiarité, devoir, initiative, concurrence, autant de mots qui nous sont chers. Ce sont les leitmotivs des états généraux de la liberté organisés mardi 23 mai à l’initiative de Virginie Calmels, Aurélien Véron et Hervé Mariton.
De manière dynamique et ouverte, plus consensuelle, pourrait s’engager le redressement de notre économie et plus généralement de la société en rendant à chacun ses responsabilités et en libérant les énergies. Pour ce faire, il faut des partenaires forts plutôt que des adversaires autistes ou des courtisans avides. Il paraît dans l’intérêt bien compris des deux parties que la droite conservatrice et libérale prenne toute sa part dans le grand chamboulement qui s’annonce.
Lorsqu’un patient est très malade comme l’est la France aujourd’hui, on ne se demande pas s’il faut lui prescrire des pilules roses ou grises. On lui donne les pilules qui vont le guérir.
Les libéraux-conservateurs ont perdu la bataille mais pas la guerre !
La défaite de François Fillon constitue, assurément, un échec cuisant pour les libéraux-conservateurs. Toutefois ces derniers doivent rester soudés et se mobiliser pour les élections législatives dès lors que celles-ci s’annoncent décisives pour l’avenir du pays !
Mélenchon, Poutou, Arthaud et Cie ne me font pas rire : moi, le communisme, je l’ai vécu !
L’article de Nicolas Lecaussin consacré aux candidats à l’élection présidentielle est publié (21 avril) sur le site FigaroVox . Lire l’article.
Cette campagne présidentielle, lorsqu’elle offre la possibilité de se concentrer encore sur le fond des programmes des candidats, ne manque pas, comme à chaque campagne pour la magistrature suprême, de forcer les prétendants à se positionner sur la question du rapport à entretenir entre la France et l’UE. Les candidats font tous le même constat : l’UE est à bout de souffle. Ce constat, fondé sur un sentiment largement partagé et relayé par l’opinion publique, entraine toutefois des conclusions différentes.
La victoire de Mark Rutte a montré que faire des réformes ça paye ! Il ne suffit pas d’avoir un discours populiste pour gagner les élections. Il faut aussi agir.
Il a été élu fin 2008, en pleine crise économique. Après un président sortant qui ne pouvait plus se représenter. Huit ans après, Obama affiche un bilan parsemé d’échecs et un pays encore plus divisé.