L’American Academy of Pediatrics, qui représente 67 000 médecins pédiatres, a exhorté la Food and Drug Administration à accélérer » l’autorisation des vaccins Covid-19 sûrs et efficaces pour les enfants…
Education nationale
Loi sur le séparatisme : le Conseil constitutionnel oublie de nouveau la liberté
Décidément, il faudrait se questionner sur l’utilité du Conseil constitutionnel concernant la défense des libertés fondamentales. En effet, les sages, dans leur dernière décision, ont jugé que l’instruction à domicile…
Un homme politique peut-il décider froidement que tous les jeunes Français iront désormais à l’école primaire jusqu’à l’âge de 17 ans ? Qu’il n’y aura donc plus en France de véritable enseignement secondaire ? Avec comme conséquence que les études supérieures et la recherche scientifique seront grevées d’un handicap irréparable ? Peut-il prendre seul, sans débat public, une décision aussi absurde, aussi manifestement contraire à l’intérêt général ? Tout citoyen sensé répondra par la négative. Et pourtant, c’est ce que vient de faire M. Jean-Michel Blanquer en mettant en œuvre une catastrophique réforme du concours donnant accès à l’enseignement des collèges et lycées, le CAPES (« Certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré »).
Jean-Michel Blanquer peut se féliciter des excellents résultats de l’Éducation nationale : 90,5% de réussite au bac avant les épreuves de rattrapage ! C’est le bac général qui remporte la…
« Ma classe à la maison » : le gouvernement va d’échec en échec
Le gouvernement semble avoir inventé un nouveau concept : le pense-bête “ratages”. Rater les tests ? Fait. Rater les masques ? Fait. Rater les vaccins ? Fait. Rater la relance…
Elle était suspendue comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête des parents qui travaillent. La fermeture des écoles que vient d’annoncer Emmanuel Macron force ceux qui ne peuvent…
Le menu unique végétarien dans les cantines ou la dictature écologique dans les écoles
Dans les écoles publiques, les parents paient la cantine pour que leurs enfants aient un repas complet, mais c’est le maire qui décide de la composition dudit repas. C’est du…
Alors que le taux de chômage des jeunes s’établit à 22,1% et est encore aggravé par la crise sanitaire, une solution semble exister : encourager l’apprentissage.
Mais pour rendre le dispositif plus efficace, il faudrait vraiment laisser la main aux entreprises.
Pas de confinement pour les grévistes de l’éducation nationale
Une intersyndicale ainsi que plusieurs fédérations d’enseignants ont appelé à la grève et à une mobilisation ce mardi. Le moment est très mal choisi pour faire grève sachant que l’école…
Libérer l’université française pour la rendre plus compétitive
• Le classement mondial des universités QS révèle que les meilleures sont américaines et britanniques. La France s’y trouve à la 11e place (et 5e en Europe).
• Le taux de diplômés par pays ainsi que le classement des meilleures universités sont liés à la part du privé dans l’enseignement supérieur. Plus le privé est important, plus le taux de diplômés et le nombre de bonnes universités sont élevés.
• Les modèles anglo-saxons sont victimes de clichés injustifiés, notamment sur le sort des étudiants. Les chiffres le montrent.
L’IREF propose :
• de réformer le baccalauréat afin d’en faire un véritable examen de présélection préalable à celui d’entrée à l’université.
• de transformer le système monopolistique universitaire français public et faussement gratuit, en un système concurrentiel et privé. Chaque université devra être autonome dans son fonctionnement, dans ses critères de sélection et d’octroi des diplômes.
• de libéraliser l’enseignement supérieur afin de permettre la création de nouvelles universités et de nouveaux diplômes. Cela implique également de dé-fonctionnariser le statut de professeur d’université.
• de faciliter l’octroi de prêts garantis par l’Etat, d’encourager les partenariats entre les entreprises et les universités, et de favoriser l’emploi pour les étudiants. L’Etat aurait un rôle de régulateur des programmes, et pourrait se concentrer sur le versement de bourses.
Les classements internationaux des meilleures universités démontrent que la France est à la traîne. Seules cinq universités et grandes écoles françaises sont présentes dans le top 200 du classement QS, contre 12 en Allemagne, 26 au Royaume-Uni et 45 aux Etats-Unis. Ces deux derniers pays possèdent des modèles qui font la part belle au secteur privé, avec des résultats très satisfaisants. Permettre la libre concurrence dans l’université française, la rendre payante, tout en facilitant l’octroi de prêts ou de jobs étudiants serait bénéfique pour l’ensemble de la communauté universitaire. La qualité des cours délivrés et de la recherche n’en serait qu’augmentée.