Emmanuel Macron entend instaurer une assurance chômage universelle qui devrait, de toute évidence, être financée par la forte hausse d’un impôt lui aussi universel : la CSG !
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Savez-vous que le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) œuvre depuis plus de quinze ans sans jamais avoir admis parmi ses 40 membres un seul représentant « ès qualités » des 17 millions de retraités ? Savez-vous que parmi les 233 membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE), il n’y a pas un seul représentant des retraités ? Savez-vous que le Comité de Suivi des Retraites (CSR) ne compte parmi ses membres absolument aucun retraité ?
Les programmes fiscaux des candidats à l’élection présidentielle se révèlent très divers et laissent apparaître des désaccords majeurs.
A quelques jours du premier tour, l’IREF analyse les principales propositions des candidats en matière de fiscalité. Malgré des programmes souvent lacunaires, peu ou pas chiffrés, il est possible de détacher des tendances et d’analyser les conséquences pour les contribuables et les entreprises.
Cette Lettre est la dernière avant le premier tour des élections présidentielles. Il ne vous a pas échappé que, contrairement à ses habitudes de neutralité, l’IREF a choisi de s’engager plus ouvertement dans la campagne.
Le débat entre les candidats l’a démontré : la quasi-totalité réclame l’abolition de la directive « travailleurs détachés » ; les plus « libéraux » veulent la renégocier. Belle unanimité, qui masque une réalité plus complexe : les candidats oublient les avantages de la directive, se trompent de texte et ne veulent pas de la concurrence qui obligerait enfin la France à s’adapter.
Cette campagne présidentielle, lorsqu’elle offre la possibilité de se concentrer encore sur le fond des programmes des candidats, ne manque pas, comme à chaque campagne pour la magistrature suprême, de forcer les prétendants à se positionner sur la question du rapport à entretenir entre la France et l’UE. Les candidats font tous le même constat : l’UE est à bout de souffle. Ce constat, fondé sur un sentiment largement partagé et relayé par l’opinion publique, entraine toutefois des conclusions différentes.
Aussi complexe que puisse être la politique sud-américaine et plus particulièrement celle de Hugo Chavez, force est de constater l’échec patent de la voie suivie. Parce qu’encore une fois, l’IREF ne cesse de le dire, la richesse économique ne se décrète pas !
Alors que sa cote baisse dans les sondages, Emmanuel Macron s’inquiète. Il attache beaucoup d’importance aux informations que nous avons données sur son patrimoine et aux questions que nous avons levées. A tel point qu’il aurait demandé à Jean-Jacques Bourdin de l’interroger spécialement sur le sujet ce lundi 17 avril au matin sur l’antenne de BFMTV/RMC. Sans nous citer bien entendu, il a développé la théorie du complot que, il y a peu, il reprochait tant à d’autres de manier trop facilement.
Des professeurs de droit et des avocats s’interrogent de manière pertinente sur le patrimoine et les revenus d’Emmanuel Macron. Ces questions ne sont pas anodines et restent pourtant sans réponse à ce jour.
Présidentielle : le désastre du prélèvement à la source peut encore être évité !
François Fillon propose, opportunément, de revenir sur la réforme du prélèvement à la source, laquelle apparaît excessivement coûteuse et complexe, largement attentatoire à la vie privée et, au demeurant, susceptible de faciliter de futures hausses d’impôts.