L’esprit européen ? Jetez un œil sur la manière dont l’Europe fonctionne réellement, vous le verrez à l’œuvre. Vous verrez clairement qu’il existe, non pas malgré les diversités du continent, mais grâce à elles. A la base de cette construction complexe, il y a des racines culturelles communes.
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Contre les « fake news » : pourquoi ne pas fusionner le CSA et l’AMF ?
Lors de ses vœux à la presse, Emmanuel Macron a livré une vision de la communication qui rappelle étonnamment celle la finance, depuis longtemps très précisément encadrée.
Les ambitions affirmées au cours de la campagne présidentielle ne sont pas au rendez-vous. Alors qu’Emmanuel Macron se disait libéral, la réforme du Code du travail a accouché d’une souris. L’État français est désormais le champion européen des prélèvements obligatoires. Le Premier ministre pourrait prendre une bonne résolution en 2018 et envoyer les membres du gouvernement en stage de formation dans les pays qui ont su réaliser les réformes qui s’imposent aujourd’hui à la France. L’IREF en a sélectionné huit qui peuvent constituer des modèles à suivre.
Les « fake news » (fausses nouvelles), ça vient aussi des Présidents de la République
En terme de « fake news » ou plutôt de « fausses nouvelles », ou mieux de « nouvelles truquées » (nous sommes Français que diable!), comment oublier que l’auteur de l’une de ces nouvelles, la moins innocente, la plus pernicieuse et la plus durable était rien moins qu’un certain Hollande, Président de la République de surcroît, qui pendant cinq ans et avec l’aide besogneuse de tous ses porte-mensonges a berné le pays tout entier d’une promesse de baisse du chômage à usage intrinsèquement électoral, qui ne s’est jamais concrétisée et qu’il n’a en définitive jamais tenue. Quand Monsieur Macron, lui-même, pour des besoins de propagande évidents, a assuré officiellement qu’il n’y aurait plus un seul « sdf » sans toit fin 2017, était-ce – avec le recul de ce début janvier 2018 – une « fake new » (comme ils disent!) ou ne l’était-ce pas? Avec les juges et le Conseil constitutionnel que nous avons, ce ne l’était sûrement pas, ce qui ne suffit pas pour autant à rasséréner le citoyen qui, au creux de son bon sens et de sa logique personnelles, peut tout à fait nourrir une opinion autre et sans doute plus conforme à la réalité.
Le retour de Framatome, ainsi renommée par EDF, vient souligner l’immense gâchis opéré depuis l’immixtion de l’Etat dans cette entreprise. Ce n’est que l’énième épisode d’une histoire toujours moins glorieuse. Reprise par EDF sur demande de l’Etat, encore, la série n’est cependant pas finie et les prochains épisodes ne donneront pas forcément dans un autre ton.
Dans un éditorial publié en 2016, avant le changement à la Maison Blanche, l’économiste Paul Krugman, prix Nobel, écrivait : « Si Trump est élu, l’économie américaine va s’écrouler et les marchés financiers ne vont jamais s’en remettre ». Un an après sa prise réelle de fonction, le président Trump est à la tête d’un pays en plein boom économique, avec un Dow Jones qui a battu tous les records. Il est provocateur, imprévisible, irascible. Il ne peut pas s’empêcher de tweeter tout et n’importe quoi mais si l’on regarde les faits et uniquement les faits accomplis, il faut reconnaître qu’il est difficile de trouver dans l’histoire récente américaine un président ayant réalisé autant de choses. Même Reagan a eu besoin de trois ans pour faire passer sa réforme fiscale ! Trump l’a fait en quelques mois.
L « icône romantique » auquel la maire de Paris consacre une exposition gratuite (comprendre avec l’argent des contribuables) a été l’un des pires criminels du communisme. Non pas en nombre de personnes tuées car rien ne peut dépasser les crimes de Staline ou de Mao, mais par la manière. Che Guevara a tué de ses propres mains et ne s’en est pas caché.
La Cour des Comptes vient de dénoncer le monde incroyable des hautes rémunérations à Bercy. Ceux qui ont la prétention de demander aux contribuables de respecter la loi n’hésitent pas à la contourner dès qu’il s’agit de leurs propres intérêts. Le système doit cesser !
Une note ministérielle révélée par le Canard Enchaîné du 27 décembre 2017 dévoile que le Gouvernement réfléchit à durcir les sanctions contre les chômeurs qui refuseraient une formation ou deux offres d’emploi raisonnables ; de réduire de 50% (contre 20% aujourd’hui) pendant deux mois les indemnités dès le premier refus, puis de les supprimer pour la même période en cas de récidive. Ces sanctions concernent les refus d’offres raisonnables d’emploi, c’est-à-dire qui correspondent au diplôme, au salaire et au lieu de résidence du chômeur. Mais alors, pourquoi durcir ces contrôles et ces sanctions, et surtout quelles sont les pratiques de nos voisins européens ?
Le 31 décembre 1987 était officiellement créé l’indice CAC 40 (cotation assistée en continu). Cet indice regroupe quarante entreprises des plus importantes d’Euronext Paris. Valant initialement 1000 points, il côte aujourd’hui 5 300 points. Cependant, c’est un indice qui ne prend pas en compte les dividendes ; si tel était le cas, il coterait alors 10 800 points (Net Total Return).