Au lieu de se scandaliser sur les énormes fortunes possédées par les plus riches du monde, on ferait mieux d’observer que les trois quarts d’entre eux sont des entrepreneurs, et non des spéculateurs. Ils ont créé des emplois, augmenté le pouvoir d’achat, et diminué le nombre de pauvres !
Suisse
Fidèles à leurs référendums, les Suisses se sont largement (65.3 %) prononcés contre une proposition de limitation des hauts salaires. Appelé «initiative 1 : 12», ce texte, combattu surtout par…
Comme tous les ans, l’IREF publie un Rapport (Taxation in Europe 2013) sur l’évolution de la fiscalité en Europe. Environ une trentaine de pays sont passés au crible par les correspondants de l’IREF sur place. Le Rapport révèle que la grande majorité des pays ont continué sur la voie des réformes (moins d’Etat et de dépenses publiques) afin d’essayer de sortir de la crise.
Malheureusement, certains pays ont aussi choisi d’augmenter la fiscalité avec l’espoir de remplir les caisses de l’Etat. En laissant de côté la France, qui est un cas à part par son entêtement à ne pas lancer de vraies réformes économiques, nous pourrions classer les pays analysés dans le Rapport dans plusieurs catégories.
Après avoir publié les vrais chiffres de l’exil fiscal dans le cadre de l’IREF[[Voir notamment : Les raisons de l’exil fiscal et Les boucs émissaires du fisc]], ce livre raconte l’histoire de ces exilés qui s’en vont, non seulement pour des raisons fiscales, mais aussi parce qu’ils n’en peuvent plus de cette France qu’ils aiment…, mais qui ne les aime plus. Un pays où plus de la moitié de sa population vit de l’argent public !
Ce manuscrit est écrit comme un témoignage à partir des faits réels que rencontre quotidiennement un avocat fiscaliste, dont la principale activité consiste à accompagner ceux qui souhaitent quitter la France. Parmi eux : industriels, retraités, entrepreneurs, jeunes, âgés… C’est toute une partie de la richesse française qui s’en va… Pour la première fois, un avocat fiscaliste témoigne !
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L’Etat français peut-il interdire aux frontaliers de s’assurer en Suisse ? La santé fait-elle partie du domaine régalien ? On peut en douter quand on observe la faillite de la Sécurité Sociale et quand on voit les performances de systèmes privés et concurrentiels en Allemagne, Suisse et Pays Bas, telles que les a présentées le rapport très récent de l’IREF.
Réformer et améliorer le système de Santé grâce au privé et à la concurrence
La couverture des soins de santé pose un problème financier majeur en France. La branche maladie est historiquement la plus déficitaire des branches de la Sécurité Sociale. L’obligation de maîtrise des déficits publics impose donc d’évaluer les performances du régime français et de proposer des économies tout en offrant une bonne qualité des soins.
L’IREF vous propose ici une étude comparative des régimes d’assurance maladie dans 4 pays : France, Pays-Bas, Allemagne et Suisse. Ce comparatif est d’autant plus pertinent que certains pays, comme l’Allemagne et les Pays-Bas ont récemment entamé des réformes visant à renforcer le rôle du secteur privé et de la concurrence pour permettre un désengagement de l’Etat dans le secteur de l’assurance maladie.
Les réformes allemandes et néerlandaises ont permis l’émergence d’une concurrence entre les caisses d’assurances. La qualité des soins n’a pas diminué et dans le cas des Pays-Bas, la qualité a même augmenté depuis la réforme de 2006.
En Allemagne, les personnes avec des revenus à partir de 4 050 euros brut/mois sont libres de choisir un système d’assurance santé totalement privé.
Le résultat de l’étude met surtout en évidence la supériorité du système néerlandais qui fonctionne à l’image d’un partenariat public-privé dans lequel l’Etat prélève des cotisations destinées à fournir des soins de qualité aux moins de 18 ans ainsi qu’aux ménages à faibles revenus.
Ce régime particulier a permis :
• De réduire le déficit public,
• De réduire le coût de fonctionnement de l’assurance maladie,
• D’améliorer la qualité des soins et le niveau de satisfaction des assurés.
• D’assurer mieux que le système français les personnes ayant les revenus les plus faibles
A la vue de ces résultats, il apparaît que le régime de santé français fournit des services de qualité inférieure tout en ayant des coûts plus élevés que les régimes néerlandais et allemand.
Les Pays-Bas ont réduit de plus de 3% leurs coûts administratifs sur la période 2001-2010. Et avant crise, la baisse des coûts avait été de près de 10% aux Pays-Bas et de 3% en Allemagne. Dans le même temps, la France n’a jamais réussi à réduire ses coûts, qui représentent en moyenne 4% des dépenses totales de santé.
Les cotisations patronales et salariales sont deux fois plus élevées en France qu’aux Pays-Bas. Les employeurs français font face à un surcoût de 70 % plus élevé en matière de santé que leurs homologues allemands et néerlandais.
L’assuré français paye plus pour la santé que l’assuré allemand ou néerlandais.
La faiblesse du régime français réside dans la faible responsabilisation des assurés ainsi que dans la complexité et le poids des services administratifs destinés à assurer son fonctionnement. L’IREF propose la mise en place d’un système de santé libre et concurrentiel.
La loi Duflot aggravera la pénurie de logements, car l’immobilier locatif sera encore moins attractif pour les bailleurs. Mais notre ministre prétend que la France s’aligne sur la Suisse et l’Allemagne : est-elle de bonne foi ?
Le gouvernement, incapable de résoudre les problèmes économiques actuels, aime faire comme le Commissariat au Plan et se lance dans la prospective en « dessinant la France de … 2025 ». L’IREF, qui ne partage pas vraiment les choix du gouvernement, a aussi choisi d’imaginer la France telle qu’il aimerait qu’elle soit dans 12 ans. Voici à quoi elle ressemblera.
Le meilleur thermomètre de la santé économique d’un pays est le flux de main d’œuvre étrangère. Aujourd’hui, les chiffres de l’OCDE sont sans appel : les pays qui perdent le…
La fiscalité est source de pouvoir, de clientélisme, mais aussi de corruption. Elle est également le levier le plus facile de la politique économique et financière. Au lieu de l’employer à hue et à dia, il serait temps de la ramener à sa juste place.