Bernard Zimmern est un infatigable combattant au service de la vérité. Il le démontre une fois de plus dans l’ouvrage qu’il vient de publier et qui remet les choses à leur place.
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Pourquoi l’ISF est vraiment, vraiment un impôt stupide !
Jean-Philippe Delsol, président de l’IREF, est interviewé (18 novembre) par le site d’information Atlantico sur l’ISF est sa nécessaire suppression.
Oui, l’ISF est un impôt stupide, ou plutôt c’est la France qui est la plus stupide des nations à se tirer ainsi une balle dans le pied, affaiblissant son économie et appauvrissant ses citoyens au nom d’une idéologie dépassée. A cet égard, il faut saluer le courage du président du MEDEF, Monsieur Gattaz, qui n’hésite pas à dire combien cet impôt est nuisible à notre pays.
Pour Thomas Piketty, dont le dernier livre a été analysé et critiqué par l’IREF, les richesses mondiales ont tendance à se concentrer (les 1 % des plus riches) et afin d’y remédier (et lutter ainsi contre les inégalités), il serait bon de mettre en place une taxe mondiale sur le capital des plus riches. Piketty ignore déjà que même parmi les plus riches il existe une forte mobilité.
L’IREF l’a souvent démontré autant dans ses Etudes que dans ses livres : les riches d’aujourd’hui n’ont rien à voir avec ceux d’hier. C’est ainsi que les arguments de ceux qui dénoncent les inégalités sont complètement faussés par ces données. Le nouveau classement Forbes, d’octobre 2014, des 400 Américains les plus riches est constitué d’une très grande majorité d’entrepreneurs. Plus de 66 % du total, en effet, sont des « self-made billionaires », créateurs de leur propre entreprise, elle-même à la base de leur réussite et de leur enrichissement. Dans certains secteurs – les nouvelles technologies, la finance et l’immobilier – ce pourcentage est même encore plus élevé. Plus de 94 % des milliardaires du secteur des nouvelles technologies ont créé leur fortune par eux-mêmes. Parmi eux 60 % environ, proviennent même des classes moyennes. Parmi les plus connus : Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, ou Larry Page.
La rubrique “L’Actualité des think tanks” du journal Les Echos (3 octobre) présente l’IREF et sa proposition concernant la baisse des impôts pour les riches.
L’article de l’IREF consacré à la baisse des impôts pour les plus riches a été repris (30/09) par le site d’information du magazine Le Point. Lire l’article.
L’article de Nicolas Lecaussin consacré à la baisse de l’impôt pour les plus riches est cité (25/09)par l’hebdomadaire Le Nouvel Economiste. Lire l’article.
Dans un article publié par le quotidien The Guardian en novembre 2013, le maire de Londres, Boris Johnson, affirmait être très fier de diriger la ville avec le plus grand nombre de millionnaires. « Ce sont eux qui payent le plus d’impôts et qui créent le plus d’emplois », souligne le maire avec beaucoup de lucidité. Il faut rappeler qu’en 2009, l’ancien ministre du Budget, Gordon Brown, à décidé l’adoption d’une « Super Tax for the Super Rich » pour des raisons idéologiques et aussi dans l’espoir d’assainir les comptes de l’Etat. Le taux d’imposition des plus riches (les revenus de plus de 150 000 livres sterling ou 186 000 euros/an) est passé à 50 % au lieu de 40 %. Le produit supplémentaire de rentrées fiscales espéré était de 7.2 Mds de livres sterling. Deux ans après, la Trésorerie britannique publiait les résultats de cette hausse des impôts : les impôts payés par les plus riches avaient baissé de 116 Milliards de livres sterling à 87, une perte de presque 30 Milliards ! Du coup, David Cameron a baissé la tranche la plus haute à 45 % et les rentrées fiscales augmentent. En 2013, les 1 % les plus riches payent 29.8 % du total de l’impôt sur le revenu alors qu’ils n’en payaient que moins de 20 %.
Comme tous les ans, la rentrée littéraire est très riche. Mais peu de lecteurs savent qu’elle est surtout riche en production anglo-américaine. Environ 50 % des romans vendus dans les…
D’après l’auteur, qui se cache sous le nom de Simplicius Aiguillon, ils sont 5 000 à contribuer à la faillite de la France. Hauts fonctionnaires, politiques, grands patrons du public ou du privé, communicants, etc…