L’article “La vérité sur les Indignés” de Nicolas Lecaussin, Directeur du développement de l’IREF, a été repris par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles dans son édition du 24 novembre. Lire l’article sur…
Libéralisme
Le professeur Jacques Garello, administrateur de l’IREF, est intervenu au colloque ” Réconcilier les Français et l’économie : mission impossible ?” organisé mercredi 23 novembre à l’Assemblée nationale par les députés Jean-Michel Fourgous et Olivier Dassault, co-présidents de “Génération Entreprise”. Parmi les autres intervenants : les journalistes Yves de Kerdrel et Emmanuel Chain, les chefs d’entreprise Laurence Parisot et Geoffroy Roux de Bézieux.
L’article de Mario Vargas Llosa, prix Nobel de littérature, aborde le lien extrêmement étroit entre la liberté et ses œuvres. Après avoir abandonné les lunes marxistes, Llosa est devenu un vrai libéral (et aussi un candidat à la présidence du Pérou) en ne cessant plus de rappeler que la liberté est notre bien le plus précieux. Content de voir qu’un peu partout dans le monde les idées de liberté et de libre entreprise s’imposent, il nous met néanmoins en garde contre les tentations étatistes. Sa littérature s’inspire justement de ce combat permanent pour la liberté.
(WSJ, 8/11, Lire l’article ).
L’article de Jean-Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, intitulé ” Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ” a été publié par le site du quotidien Les Echos (3novembre). Lire l’article sur le site des Echos ou plus bas.
La vérité c’est que ce sont des extrémistes, des ignorants et des inconscients. Mais que sait-on d’eux ? Les médias les ont chéris, mais les manifestations de ces fanatiques n’ont rien de spontané ni de sympathique. Ils veulent « couper la tête aux riches ». Dans un article très documenté, Nicolas Lecaussin rétablit la vérité.
C’est le roman (Atlas Shrugged) d’Ayn Rand qui n’avait jamais été traduit en français. Et pour cause. C’est un livre « ultralibéral » qui va sûrement déranger les esprits politiquement corrects. Le roman tombe à pic car la situation économique et politique de la France et des Etats-Unis ressemble fortement à celle des années 1930 décrite par l’auteur.
Dans un « Point de vue » intitulé « Les illusions de l’ultralibéralisme » et publié par le quotidien Le Monde (23/09), Sylvie Matelly, Directrice de recherche à l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques), critique les politiques économiques « ultralibérales » de ces dernières années et les accusent d’être à l’origine de la crise économique actuelle.
L’infatigable Tom G. Palmer, Vice-président d’ Atlas Foundation et Senior Fellow au Cato Institute, a distribué ce petit livre dans le cadre de l’Université d’été de la Nouvelle Economie qui s’est tenue à Aix-en-provence fin août.
C’est une lecture obligatoire pour ceux qui veulent défendre le capitalisme contre ses détracteurs. Il ne s’agit pas seulement du capitalisme en économie mais aussi de celui en philosophie, histoire et littérature. Ce système, il ne faut pas l’oublier, est le seul qui crée des richesses et qui favorise l’innovation. C’est ce qu’écrivent toutes les personnalités réunies dans ce livre parmi lesquelles Mario Vargas Llosa, Vernon Smith, John Mackey, David Kelley, Leonid V. Nikonov et bien d’autres. Le capitalisme est bien le seul qui fonctionne. Il ne faut pas l’oublier. Est-ce un hasard ? Non, suggèrent les auteurs : il correspond à la nature des êtres humains et permet leur épanouissement. Achetez le livre .
N’en déplaise aux critiques gauchisants, notre niveau de vie n’a cessé de s’améliorer sous le capitalisme. Un long article du Wall Street Journal révèle de nouvelles statistiques et fait le point sur les avancées de la science. Sommes-nous en train de devenir immortels ? A voir ce qui s’est passé depuis l’apparition de l’Homme on peut l’espérer… L’homme de Cro-Magnon vivait en moyenne18 ans, celui du Moyen Age, 30 ans. En 1830, la vie s’arrêtait en moyenne à 43 ans. Aujourd’hui, c’est à 78 ans et en 2300, ce sera….101 ans. Entre le début et la fin du XXe siècle, notre espérance de vie est passée de 57 ans à 79 ans. Un gain de 22 ans en moins d’un siècle ! Presque 6 millions d’Américains ont plus de 85 ans et le nombre de centenaires ne cesse d’augmenter. Ils seront plus 600 000 en 2050. En réalité, notre vie ne cesse de s’améliorer. Le capitalisme et l’économie de marché tant honnis y sont pour quelque chose. Gare à ceux qui veulent les « réformer ».
(Sonia Arrison, WSJ, 2-4 sept, Résumé, Lire l’article ).
Après avoir demandé la suppression de l’ISF, le président Sarkozy a permis que l’Assemblée se contente de le bricoler tout en supprimant l’ultime protection du bouclier qu’il avait institué. Il a favorisé la remise en cause des encouragements aux donations qu’il avait fait voter. Il a créé une nouvelle « exit tax » qui en fait incitera les entrepreneurs à partir plus vite. La Commission européenne suggère la mise en place d’une taxe européenne sur les transactions financières qui pénalisera les places européennes au profit des pays émergents. Mais si la fiscalité est le terrain d’excellence de cette versatilité maladive, elle n’est que le reflet de la maladie sénile de l’étatisme en mal d’existence. Mise au point de Jean-Philippe Delsol.