Le S & P 500 ou l’indice boursier basé sur 500 grandes sociétés cotées sur les bourses américaines a connu une hausse de 152 % entre 2009 et 2016. C’est…
économie
L’IREF s’est procuré la lettre du président du Conseil national du notariat adressée à tous les notaires et dans laquelle on apprend que Nicolas Sarkozy a fait la promesse d’abroger en grande partie la loi Macron en cas de victoire à l’élection présidentielle.
Après l’attaque contre les écoles libres, le gouvernement s’en prend aussi aux manuels d’économie. Un arrêté sera pris fin juin afin d’ « alléger les programmes d’économie en classe de seconde ». Le but visé est celui de « soulager » les enseignants de SES (sciences économiques et sociales) qui serait une « demande ancienne » de l’APSES (Association des professeurs de sciences économiques et sociales). En réalité, c’est l’étude du fonctionnement du marché et de l’entreprise qui est surtout visée par cette mesure idéologique.
Le succès obtenu par Donald Trump aux primaires américaines est d’autant plus inattendu que l’économie des Etats-Unis est dans une phase de véritable boom. Les explications à la victoire de Trump invoquées en France par certains médias ne tiennent pas à l’analyse des faits. Le taux de chômage est à 5 %, plus de deux fois moins élevé qu’en France. Les créations d’emplois se comptent par centaines de milliers tous les mois : en moyenne 150 000 emplois nets/mois par mois contre 10 000 destructions en France…
Les statistiques officielles du “Budget Office” américain montrent que les rentrées fiscales sont inversement corrélées aux taux maximum d’imposition. C’est quand ils sont au plus bas que l’impôt sur le revenu rapporte le plus. Moins d’impôts, c’est plus d’argent dans les caisses de l’Etat. C’est la première loi économique que les politiques devraient apprendre.
IR et Retenue à la source:
12 points pour comprendre les enjeux !
Quand au bout de trois ans avec pour seule réforme véritablement visible, le mariage pour tous, le Président de la République s’aperçoit de l’inanité de son bilan qui voit la dépense publique ne cesser de croître de concert avec le chômage et l’endettement de la Nation, il s’inquiète tout à coup du caractère déplorable de son image dans l’opinion. Il est vrai que les changements promis par le candidat sont loin d’être au rendez-vous: à peine bouclée, la prétendue réforme des retraites révèle déjà ses insuffisances, le dialogue social s’est perdu dans les sables de la médiocrité de ses interlocuteurs, la confiance a disparu depuis le matraquage en règle de l’entreprise et des classes moyennes, la haute finance siège sans désemparer dans le Gouvernement et la grande réforme fiscale promise n’a toujours pas vu le jour, car l’usage répété du 49-3 sur la loi Macron montre qu’au sein même de la majorité, elle ne réunirait pas les suffrages nécessaires. Alors, puisqu’on ne peut plus rien faire de sérieux et de substantiel, il reste les artifices de la communication et là nous avons affaire à des maîtres. Il faut trouver une “grande” réforme la plus creuse possible et qui donne l’illusion du changement, sans qu’au fond rien ne bouge ou presque. Bien mieux en laissant entendre que cette réforme pourrait préparer l’avènement ultérieur d’une CSG progressive, on a le marqueur de gauche de nature à apaiser les “frondeurs”. En dépit des réticences des services de Bercy, en dépit aussi des nombreuses réserves du Conseil des Prélèvements Obligatoires (citée par abréviation C.P.O ensuite), cette réforme, c’est tout simplement la généralisation de la retenue à la source (RAS également citée par abréviation ensuite) dont on reporte cependant la première application en 2018, après la fin du mandat en cours, car on ne saurait être trop prudent. Mais si l’annonce a bien été faite, on est encore loin aujourd’hui de connaître dans le détail l’économie du texte et le citoyen peine à se faire une idée précise des enjeux en cause, des options ouvertes et de leurs conséquences. C’est le but de cette étude de donner au lecteur dans le débat qui s’engage et pour les mois à venir les clefs d’une réflexion personnelle et documentée, qui le garde tout aussi bien des écueils des simplifications abusives que des excès d’annonces médiatiques trop souvent mal contrôlées.
Malgré quelques efforts ces dernières années, les effectifs de Bercy sont largement supérieurs aux effectifs des ministères équivalents dans d’autres pays.
Dans La Grande Parade (Plon, 2000), l’essayiste Jean-François Revel démontre l’incapacité des socialistes à tirer les leçons de la faillite du marxisme et leur entêtement à continuer sur la même voie : celle des méthodes économiques qui n’ont jamais marché. Aujourd’hui encore, le gouvernement en place nous ressort les vieilles antiennes de la lutte des classes et de l’importance du rôle de l’Etat dans l’économie et aussi dans la société en proposant aux Français une sorte de mixture idéologique indigeste qui, en réalité, ne fait qu’enfoncer le pays dans la crise.
6 fois plus d’économies dans les ministères britanniques
Le chiffre de l’IREF concernant les économies dans les ministères britanniques est publié par Le Figaro Magazine du 5 juin.
Nicolas Lecaussin est cité par Le Figaro Economie concernant les tarifs électricité en France par rapport à ceux pratiqués en Europe. Lire.