Indignation générale lors de l’annonce faite par Trump à propos du retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris. Condamnation unanime, aucune voix discordante dans les grands médias et même sur les réseaux sociaux (sauf certains milieux libéraux). Ce qui démontre déjà que, malgré la « toile », de nombreux sujets sont de véritables tabous. De toute façon, Trump est, depuis, son élection, et quelles que soient ses décisions, la cible prioritaire des bien-pensants et autres fidèles du politiquement correct. Pourtant, une simple et rapide analyse des faits montre que Trump a des raisons d’abandonner ces accords, raisons qu’on ne peut pas balayer d’un revers de main médiatique.
Écologie
Ainsi donc notre liberté de circuler en voiture en ville va de plus en plus souvent être subordonnée à l’affichage sur nos pare-brises de macarons de couleurs variées et censés retracer fidèlement le degré de nocivité de nos véhicules, en les distinguant selon leur motorisation et leur année d’acquisition. A priori, même si elle n’est pas toujours séduisante pour les grands banlieusards oubliés des transports en commun, l’idée paraît raisonnable, si tant est que les différentes couleurs des pastilles correspondent bien pour chaque type de véhicule à des taux d’émission scientifiquement vérifiés par des laboratoires indépendants dans des conditions incontestables.
La mesure dictatoriale de Mme Hidalgo concernant la circulation alternée ne résout par le problème. Et contrairement au discours officiel et aux clichés écologistes, la pollution a beaucoup chuté à Paris et cela malgré la hausse du trafic routier.
L’IREF a les honneurs du Canard Enchaîné ! Dans le numéro du 7 décembre, l’IREF apparaît aux côtés d’autres associations comme une organisation “climato-sceptique” ou “climato-réaliste”. Apparemment, on “s’agite” depuis…
Exportations agricoles : L’Amérique et l’Union européenne sont à égalité
D’après les chiffres de la Banque Mondiale reprises par le Wall Street Journal, les exportations agricoles aux Etats-Unis et en Europe représentent respectivement environ 10.4 % et 10 % du…
Etats-Unis : 100 millions de véhicules en plus, 63 % de pollution en moins
Entre 1980 et 2015, le parc automobile américain a augmenté de 100 millions de véhicules à moteur (de 160 millions à 260 millions). Malgré cette hausse, la pollution (Les émissions globales ou les six polluants communs) a baissé de 63 % sur la même période. Tandis que le PIB augmenté de 153 %.
En France, on en est encore au stade des interdictions et des empoignades concernant les OGM. En Asie, la recherche et la culture OGM se développent à un rythme soutenu.
Le grand cirque organisé à Paris pour soi-disant sauver la planète est une vaste tromperie.
En 2009 à Copenhague, les pays développés se sont engagés à verser 100 mds$ (milliards de dollars) par an d’ici à 2020 aux pays en développement, pour y financer des projets réduisant le réchauffement climatique. En 2014, un rapport des Nations Unies a évalué le niveau actuel de ces financements. Il a découvert un montant, dont l’écart varie de 40 à 175 par an : de 35 à 50 mds$ pour les financements publics et de 5 à 125 pour les financements privés.
Plusieurs fois, notre Institut a révélé les terribles gaspillages engendrés par l’éolien en France et aussi dans d’autres pays européens ou bien aux Etats-Unis. La France compte à ce jour environ 5 500 éoliennes sur son territoire. Après dix années de développement, le secteur ne produit que 4 % de l’électricité consommée et l’effet sur l’environnement se fait encore attendre. On découvre même que le bruit émis par les éoliennes aurait un effet très perturbateur sur la faune environnante. Quant à la création d’emplois, celle-ci est très réduite, dans la mesure où toutes les éoliennes sont importées. Et que dire de l’enlaidissement du territoire avec ces monstres de métal parsemés dans les champs, dans les montagnes ou au large des côtes.