Comme chaque année à même époque, le PLF se prépare activement : Olivier Dussopt, ministre chargé des Comptes publics, a mené une série de réunions d’arbitrages budgétaires avec les membres…
Dépense publique
La dette de Paris explose, une partie (en tout cas celle qui n’a pas voté pour elle) des Parisiens est mécontente de la gestion de la ville. Mais la maire…
Stratégie des finances publiques pour 2022 : des dépenses en hausse et toujours pas de réforme budgétaire à l’horizon
Quel héritage ce gouvernement et les précédents laisseront aux générations suivantes ? Des montagnes de dettes. Le budget de l’État est comme le tonneau des Danaïdes : qu’importe la quantité…
L’Assemblée nationale augmente son budget, payé par vos impôts
L’Assemblée nationale adopte en ce moment son budget pour 2022. Elle en profite pour l’allonger de 46 millions d’euros, à 608,7 millions d’euros. Cette augmentation a pour le moment été…
Persistance des rémunérations abusives du Président et des membres du Conseil constitutionnel
Monsieur le Premier Président,
1 Attentif aux publications de la Cour, j’ai été déçu – à moins que l’information ne m’ait échappé – de ne trouver dans l’acte de certification des comptes de l’État pour l’exercice 2020, rien qui ait trait au traitement comptable et aux autres suites des très généreuses indemnités complémentaires indûment versées par le Trésor et perçues en violation de la Constitution depuis plus de vingt ans par les Présidents et les membres successifs du Conseil Constitutionnel. Pire, le paragraphe 148 à la page 57 de cet acte daté du 13 avril 2021 précise: Par ailleurs le Président du Conseil constitutionnel a adressé à la Cour le rapport de son conseiller financier sur les comptes de 2020 de ce Conseil: ce document ne mentionne pas d’anomalies significatives. Certes on comprend bien que, de par la faiblesse numérique de ses effectifs, le Conseil constitutionnel ne peut pas mettre en péril l’équilibre général des comptes de l’État, mais on peut regretter l’absence de signalement d’une question de principe affectant les rémunérations de son Président et de ses membres qui, par son exceptionnelle gravité, eût mérité d’être rendue publique.
Les détails du plan d’infrastructures du Président américain se précisent, et la nature du financement de ce projet pose question. Une partie de l’argent (estimée à 56 milliards de dollars)…
Rapport de la Cour des comptes sur les finances publiques : on attend toujours les mesures fortes
La Cour des comptes a présenté son rapport « Une stratégie de finances publiques pour la sortie de crise » commandé par le Premier ministre Jean Castex. Comme l’indique le sous-titre, les magistrats financiers préconisent de « concilier soutien à l’activité et soutenabilité ». Ils pensent en effet que la croissance économique doit d’abord repartir et se consolider, avant que le gouvernement ne touche aux finances publiques. La Cour des comptes prévoit, de façon optimiste, une croissance à 5% par rapport à l’année dernière (récession de 7.9 % en 2020), un déficit public à 9.4% et une dette publique à 117 %. Présidé par Pierre Moscovici, ancien ministre des finances qui a laissé filer la dette et les dépenses publiques, la juridiction financière ne recommande aucune mesure à la hauteur de l’enjeu.
L’exécutif européen valide le plan de relance écologiste français
Le gaspillage de l’argent public n’est que le dernier des soucis de la bureaucratie européenne. Ursula von der Leyen a validé le plan de relance français, conforme aux règles fixées…
Après le revenu universel, voici le chèque bureau universel
Le chèque bureau universel : voilà l’idée lumineuse d’une trentaine de personnalités, dont l’ex-ministre du travail Myriam El Khomri, ou encore l’ancien syndicaliste Jean-Claude Mailly. Émis par les entreprises mais…
En octobre 2020, le journal de l’Île-de-la-Réunion révèle que Dhoihir Dhoulkamal, nommé ministre des Affaires étrangères de l’Union des Comores, a réussi à se faire passer pour un ressortissant français d’origine mahoraise sans revenu et de ce fait éligible aux dispositifs RSA et CMU.
Un événement qui ravive notamment le débat sur l’aide médicale d’État (AME), qui agite la société française depuis plus de dix ans. Débat houleux souvent mais qui se limite aux plateaux de télévision. En réalité, rien ou presque n’a été mis en œuvre pour endiguer son impact faramineux sur les finances publiques, alimenté par l’effet de pompe aspirante pour l’immigration.