Les économistes de la Maison-Blanche prédisent une « stagnation séculaire » après 2022 avec une croissance ne dépassant pas les 2% sur le long terme. Les États-Unis devraient naturellement connaître…
croissance économique
Oui, bien sûr, il fallait aider les salariés, les indépendants, les entreprises… dès lors que les Etats avaient pris la décision d’immobiliser la société pour cause de pandémie. Mais cet arrêt forcé doublé d’une manne incontrôlée risque d’avoir des effets collatéraux pires que la pandémie.
Le Venezuela, pays béni de son pétrole mais maudit de ses gouvernants socialistes. Autrefois poumon économique de l’Amérique du Sud et désormais épicentre d’une catastrophe économique, humanitaire et sanitaire. En l’espace de moins de 10 ans, le PIB a fondu de 90% ! Le modèle chaviste tant loué par certaines élites politiques et intellectuelles pourrait-il avoir failli ? Aux racines de cette crise, la seule raison économique n’éclaire pas tout, l’économie et le politique étaient imbriqués. Des signaux d’alerte sont apparus dès 2014 dont les causes principales sont à rechercher dans les premières années du chavisme.
Depuis 2002, la France est en situation de récession organique, car la faible croissance de ces 20 dernières années n’a été obtenue qu’à coups de déficits publics plus importants que l’augmentation de la valeur ajoutée apportée à l’économie.
Programme économique de Marine Le Pen : distribution gratuite et non-financée d’argent public
« Quand on prend des points sur le régalien, pourquoi s’emmerder sur l’économie ? » confie un conseiller de Marine Le Pen à L’Opinion. Cette phrase résume bien le programme…
Santé ou économie ? Inutile de choisir. En Corée du Sud, le PIB a progressé de 1,6 % au premier trimestre 2021 par rapport au trimestre précédent. Les ménages consomment,…
La pandémie laissera des traces ! A vrai dire, son impact est très disparate selon les pays, eu égard, notamment, à la solidité de leurs dépenses publiques respectives. Au sortir de la crise de 2008, nombre de pays étaient endettés mais beaucoup ont engagé des réformes pour y remédier. La France a attaqué la crise sanitaire avec des finances publiques dégradées, une dette qui atteignait 98,5% du PIB, et donc une marge de manœuvre bien plus réduite que bien des membres de l’OCDE.
L’Etat français n’a pas toujours été un monstre bureaucratique et dépensier ! En 1928, la part des dépenses dans le PIB s’élevait à 18%. D’après François Facchini, économiste et professeur agrégé des universités, une rupture nette intervient en 1946 sous l’effet de plusieurs leviers, dont le constat que l’Etat doit agir en tant qu’assureur des risques que chaque citoyen affronte au cours de sa vie. Une volonté politique qui s’explique par les conséquences sociales de la Seconde Guerre mondiale. Autre levier, l’influence nouvelle et grandissante des communistes au Parlement (premier parti aux élections législatives de 1946 : 28.26% des voix).
L’année 1946 a aussi marqué une rupture dans l’organisation administrative de l’Etat. L’élargissement de ses prérogatives nécessitait une augmentation substantielle de ses effectifs. En ce sens, la loi du 19 octobre 1946 votée à l’instigation de Maurice Thorez a consacré le premier statut général de la fonction publique.
L’optimisme n’est sans doute pas l’état d’esprit qui caractérise le plus les Français par les temps qui courent. Pourtant, un rapport du très sérieux cabinet McKinsey Global Institute envisage des…
L’Institut Bruno Leoni (IBL), think tank italien, a publié le mois dernier l’édition 2020 de son indice de libéralisation économique qui mesure le degré d’ouverture à la concurrence des 27 économies de l’Union européenne et de celle du Royaume-Uni.