Le marché du travail américain enregistre un mauvais résultat en mai, avec certes 559 000 emplois créés, mais… 1.5 million de travailleurs en moins. L’économie américaine est en plein boom, mais un chèque de 300 $ par semaine est venu changer la donne.
croissance économique
Comme à son habitude, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) envoie à l’IREF ses multiples avis en format papier, d’une centaine de pages chacun. Les membres de cette institution fourmillent d’idées et nous le font savoir. Dans les exemplaires de ces derniers mois, on trouve des sujets variés comme la redynamisation des centres-villes et centres-bourgs, l’alimentation durable, les reconversions professionnelles, l’école à l’ère du numérique, les investissements d’avenir, les inégalités de genre, la gouvernance des données, et bien d’autres encore ! Ce sont près d’une quinzaine de livrets papier (souvent en double exemplaire) que nous avons reçus depuis le début de l’année. S’ils sont envoyés à tous les think-tanks et médias, cela représente des tonnes de papier. On ne peut pas dire que le CESE soit dans la démarche écoresponsable qu’il aimerait pourtant imposer aux Français. Le dernier rapport en date s’intitule « Face au choc, construire ensemble la France de demain ». Le choc, c’est surtout de découvrir que cette « France de demain » serait encore plus étatiste qu’actuellement.
La Turquie du sultan Erdogan sombre dans la dictature à mesure que le régime durcit sa politique. A l’aube des années 2000, le régime s’était démocratisé afin de répondre aux exigences de l’Union européenne, condition préalable à une potentielle intégration. Ce temps est révolu. Depuis la révolte de Gezi, puis le coup d’Etat manqué de 2016, Erdogan a imposé son pouvoir d’une main de fer à un pays sonné par la brutalité et la rapidité de son action. L’économie souffre de ce virage autoritariste et une partie de la population s’est paupérisée à mesure que l’Etat renforçait son emprise sur l’économie.
Les économistes de la Maison-Blanche prévoient l’échec de la politique de relance de Biden
Les économistes de la Maison-Blanche prédisent une « stagnation séculaire » après 2022 avec une croissance ne dépassant pas les 2% sur le long terme. Les États-Unis devraient naturellement connaître…
Oui, bien sûr, il fallait aider les salariés, les indépendants, les entreprises… dès lors que les Etats avaient pris la décision d’immobiliser la société pour cause de pandémie. Mais cet arrêt forcé doublé d’une manne incontrôlée risque d’avoir des effets collatéraux pires que la pandémie.
Le Venezuela, pays béni de son pétrole mais maudit de ses gouvernants socialistes. Autrefois poumon économique de l’Amérique du Sud et désormais épicentre d’une catastrophe économique, humanitaire et sanitaire. En l’espace de moins de 10 ans, le PIB a fondu de 90% ! Le modèle chaviste tant loué par certaines élites politiques et intellectuelles pourrait-il avoir failli ? Aux racines de cette crise, la seule raison économique n’éclaire pas tout, l’économie et le politique étaient imbriqués. Des signaux d’alerte sont apparus dès 2014 dont les causes principales sont à rechercher dans les premières années du chavisme.
Depuis 2002, la France est en situation de récession organique, car la faible croissance de ces 20 dernières années n’a été obtenue qu’à coups de déficits publics plus importants que l’augmentation de la valeur ajoutée apportée à l’économie.
Programme économique de Marine Le Pen : distribution gratuite et non-financée d’argent public
« Quand on prend des points sur le régalien, pourquoi s’emmerder sur l’économie ? » confie un conseiller de Marine Le Pen à L’Opinion. Cette phrase résume bien le programme…
Santé ou économie ? Inutile de choisir. En Corée du Sud, le PIB a progressé de 1,6 % au premier trimestre 2021 par rapport au trimestre précédent. Les ménages consomment,…
La pandémie laissera des traces ! A vrai dire, son impact est très disparate selon les pays, eu égard, notamment, à la solidité de leurs dépenses publiques respectives. Au sortir de la crise de 2008, nombre de pays étaient endettés mais beaucoup ont engagé des réformes pour y remédier. La France a attaqué la crise sanitaire avec des finances publiques dégradées, une dette qui atteignait 98,5% du PIB, et donc une marge de manœuvre bien plus réduite que bien des membres de l’OCDE.