Selon Delphine Batho, « la décroissance est le seul chemin réaliste. Nous avons tout à y gagner en termes de sécurité, de qualité de vie, d’emploi et de créativité ».…
croissance économique
Delphine Batho appelle à la décroissance pour sauver la planète
Petit à petit, l’oiseau fait son nid, et les partisans de la décroissance prennent de plus en plus de place dans les médias et les opinions. En début de semaine,…
L’économie et les marchés financiers en plein essor : signe d’un retour à la normale ?
Depuis la fin des dernières mesures anti-covid, les économies françaises et américaines sont en pleine croissance. Les économistes de l’INSEE et de la Banque de France tablent sur une croissance…
L’attractivité de la France en 2021 : un clair obscur qui appelle à la libération des énergies
Au début du mois de juin, est paru le baromètre sur l’attractivité de la France qui a permis au Gouvernement de se féliciter de la solidité des bases de l’économie française et de la compétitivité de ses entreprises, dues naturellement aux réformes engagées sous le présent quinquennat. Si l’observation des projets d’investissement des entreprises étrangères semblent bon au premier abord, un certain nombre de faiblesses structurelles ne peuvent être passées sous silence.
Joe Biden ouvre la porte au revenu universel : les effets sur l’emploi sont désastreux
Le marché du travail américain enregistre un mauvais résultat en mai, avec certes 559 000 emplois créés, mais… 1.5 million de travailleurs en moins. L’économie américaine est en plein boom, mais un chèque de 300 $ par semaine est venu changer la donne.
Comme à son habitude, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) envoie à l’IREF ses multiples avis en format papier, d’une centaine de pages chacun. Les membres de cette institution fourmillent d’idées et nous le font savoir. Dans les exemplaires de ces derniers mois, on trouve des sujets variés comme la redynamisation des centres-villes et centres-bourgs, l’alimentation durable, les reconversions professionnelles, l’école à l’ère du numérique, les investissements d’avenir, les inégalités de genre, la gouvernance des données, et bien d’autres encore ! Ce sont près d’une quinzaine de livrets papier (souvent en double exemplaire) que nous avons reçus depuis le début de l’année. S’ils sont envoyés à tous les think-tanks et médias, cela représente des tonnes de papier. On ne peut pas dire que le CESE soit dans la démarche écoresponsable qu’il aimerait pourtant imposer aux Français. Le dernier rapport en date s’intitule « Face au choc, construire ensemble la France de demain ». Le choc, c’est surtout de découvrir que cette « France de demain » serait encore plus étatiste qu’actuellement.
La Turquie du sultan Erdogan sombre dans la dictature à mesure que le régime durcit sa politique. A l’aube des années 2000, le régime s’était démocratisé afin de répondre aux exigences de l’Union européenne, condition préalable à une potentielle intégration. Ce temps est révolu. Depuis la révolte de Gezi, puis le coup d’Etat manqué de 2016, Erdogan a imposé son pouvoir d’une main de fer à un pays sonné par la brutalité et la rapidité de son action. L’économie souffre de ce virage autoritariste et une partie de la population s’est paupérisée à mesure que l’Etat renforçait son emprise sur l’économie.
Les économistes de la Maison-Blanche prévoient l’échec de la politique de relance de Biden
Les économistes de la Maison-Blanche prédisent une « stagnation séculaire » après 2022 avec une croissance ne dépassant pas les 2% sur le long terme. Les États-Unis devraient naturellement connaître…
Oui, bien sûr, il fallait aider les salariés, les indépendants, les entreprises… dès lors que les Etats avaient pris la décision d’immobiliser la société pour cause de pandémie. Mais cet arrêt forcé doublé d’une manne incontrôlée risque d’avoir des effets collatéraux pires que la pandémie.
Le Venezuela, pays béni de son pétrole mais maudit de ses gouvernants socialistes. Autrefois poumon économique de l’Amérique du Sud et désormais épicentre d’une catastrophe économique, humanitaire et sanitaire. En l’espace de moins de 10 ans, le PIB a fondu de 90% ! Le modèle chaviste tant loué par certaines élites politiques et intellectuelles pourrait-il avoir failli ? Aux racines de cette crise, la seule raison économique n’éclaire pas tout, l’économie et le politique étaient imbriqués. Des signaux d’alerte sont apparus dès 2014 dont les causes principales sont à rechercher dans les premières années du chavisme.