L’article de Nicolas Lecaussin consacré aux candidats à l’élection présidentielle est publié (21 avril) sur le site FigaroVox . Lire l’article.
antilibéralisme
La campagne présidentielle est décidemment bien affligeante. Comme l’écrivait Nicolas Lecaussin après le grand débat, l’impression est d’être en 1917 et pas en 2017. Un parfum de collectivisme flotte de manière assez nauséabonde, sans que cela émeuve grand monde. Et, au-delà d’une « politique du père Noël » consistant à distribuer toujours plus dans la logique d’un étatisme éculé, il y a un point sur lequel les collectivistes de droite comme de gauche se rejoignent joyeusement : le protectionnisme. Pour Madame Le Pen il est urgent de mettre en place des mesures de « protectionnisme intelligent » ou « réfléchi ». Pour Monsieur Mélenchon il s’agirait d’un protectionnisme « solidaire ».
L’article de Nicolas Lecaussin sur le « grand débat » est publié (5 avril) par le site du Figaro . FIGAROVOX/TRIBUNE- Pour Nicolas Lecaussin, la plupart des candidats ont développé durant le…
L’ouvrage de Jean-Philippe Delsol et Nicolas lecaussin est présenté par Jean-Marc Daniel et Emmanuel Lechypre sur BFM Business (25 janvier). Voir l’émission
Après avoir été pendant quatre ans et successivement au cabinet de François Hollande puis son Ministre de l’économie, Emmanuel Macron prétend ne plus être socialiste. D’une certaine manière, il est vrai qu’il est tout d’ambiguïté. Mais son programme n’est pas pour autant libéral parce qu’il se place d’abord et avant tout sous le contrôle de l’Etat. Il concède la liberté, mais sous haute surveillance. Il reste attaché à l’Etat-providence pour « distribuer » des chances égales à tous.
Les nominations de Donald Trump montrent clairement sa préférence pour la société civile et pour le rejet du politiquement et de l’économiquement corrects. François Fillon, le candidat de la droite, pourrait s’en inspirer afin de mener à bien les vraies réformes dont la France a besoin.
Tandis que François Hollande, comme un despote qui craint le peuple, se barricade au palais de l’Elysée en interdisant la rue Saint Honoré aux voitures, son gouvernement aux abois s’emploie à multiplier les mesures tendant à museler l’expression des Français et jusqu’à leur conscience avant que ne sonne l’hallali. Il faut s’opposer à toutes ces attaques !
Le protectionnisme fait son grand retour. C’est vrai aux Etats-Unis, comme en Europe, dans les programmes et les discours, mais aussi dans les décisions : les mesures protectionnistes progressent. Le dernier rapport de l’OCDE tire la sonnette d’alarme : plus de protectionnisme, c’est plus de chômage et moins de croissance ! Il est donc urgent de revenir au libre-échange.
Ultralibéral : une injure dans la bouche des gens de gauche
Jacques Garello, membre du Conseil d’administration de l’IREF, est interviewé (1 décembre) dans le quotidien Libération à propos de l’étiquette « Ultralibéral ». Lire.
« Socialismo o Muerte » était la devise du dictateur Fidel Castro. Il a apporté les deux sur l’île de la Cuba, en janvier 1959, accompagné de Che Guevarra et de ses « barbudos ». Pénuries, pauvreté, meurtres, épuration, prisons politiques, Castro a été fidèle aux caractéristiques du totalitarisme communiste.