Le site Actu-Environnement nous donne des détails sur les tarifs d’achat des futurs parcs éoliens français en mer validés par la Commission européenne : entre 131 et 155 euros par mégawattheure (MWh).
Les chiffres clés
C’est un sondage rendu public au début des vacances et qui aurait dû provoquer quelques interrogations parmi les responsables des médias. Selon une enquête internationale réalisée par Ipsos, environ 48 % des personnes interrogées en France pensent que les médias traditionnels (presse quotidienne et magazines) diffusent de fausses informations.
95 % de croyants et 90 nouvelles églises par an !
Tandis que la France tourne le dos à la religion chrétienne pour diverses raisons, dans les pays sortis du communisme elle fait son grand retour.
Amazon va financer la formation de 100 000 employés !
La société Amazon va lancer un vaste programme de formation professionnelle et d’enseignement technique et professionnel à l’intention de ses employés, dont plus de 100 000 bénéficieront d’ici 2025 : c’est plus que le nombre d’inscrits en première année dans la majorité des universités d’Etat américaines ! L’entreprise va donc dépenser 700 millions de dollars pour leur permettre d’obtenir des certificats ou des diplômes dans des «métiers à forte demande», tels qu’ils sont définis par le Bureau of Labor Statistics. Ils pourront suivre des cours sur place et aucune obligation n’est faite qu’ils soient en lien avec leur emploi actuel.
Malgré le cirque du Brexit, les Anglais créent deux fois plus d’emplois que la France !
Il y a quelques jours, le ministre Bruno Le Maire a fièrement annoncé la création de 93 000 emplois entre janvier et mars. L’an dernier, la France a créé 218 600 emplois. C’est bien, sauf qu’il faudrait comparer avec les autres pays.
Même le journal Le Monde (5 mai) le reconnaît : il y a un « miracle » économique en Amérique. Certes, le journal prend des précautions idéologiques, se gardant bien d’attribuer les résultats économiques américains au président Trump. Mais c’est bien en grande partie du moins, grâce à celui-ci, que la situation est florissante, alors qu’ils étaient nombreux, ceux qui affirmaient que la croissance était due en fait à la politique d’Obama et qu’elle n’allait durer que quelques mois …
Dans son éditorial du 8 avril dernier publié dans le New York Times, le prix Nobel d’économie, Paul Krugman, écrit que Trump s’en prend à la Fed (la Banque centrale américaine) parce que l’impact des baisses d’impôts et des suppressions des réglementations n’auraient été que de la « poudre aux yeux » et n’auraient servi qu’à retarder la récession. Le même Krugman avait aussi écrit, un mois avant l’élection de Trump (novembre 2016), que « Si Trump est élu, l’économie américaine va s’écrouler et les marchés financiers ne vont jamais s’en remettre ». Presque trois ans après, les marchés battent des records et l’économie affiche un taux de croissance à 3.2 %, largement au-dessus des prévisions. Malgré le « shutdown » en janvier, la croissance est tirée par les exportations et les investissements privés, très importants depuis 2017 et les réformes prises par l’administration Trump.
Encore un rapport qui accable la SNCF. Selon l’Autorité de la qualité de service dans les transports (AQST), un train sur six n’arrive pas à l’heure, les annulations de TGV ont ainsi augmenté de 6,8%, un taux qui se hisse à 13,3% pour la seule ligne Paris Nord-Arras. On peut également constater une hausse importante des retards, dont le taux atteint 17,8%, contre 15,4% en 2017.
Fin mars, selon le Labor Department, l’Amérique a créé 190 000 emplois, plus que prévu malgré le ralentissement économique annoncé. Le taux de chômage reste à 3.8 %, son plus bas niveau depuis 49 ans.
Les débats sur le Brexit déchaînent les passions, pas seulement au Royaume-Uni. En France, on préfère l’ironie et la mise en garde à ceux qui prôneraient une sortie de l’Europe à l’anglaise. On accuse les Britanniques de ne pas se plier aux exigences de la Commission tout en oubliant les pressions de l’Europe et de M. Michel Barnier, qui, en bon chiraquien, a toujours été beaucoup plus en faveur d’une Europe dirigiste que libérale.