Pour Sandrine Rousseau, « il y a des limites à la caricature »

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Peut-on rire de tout ? Charlie Hebdo, connu pour un humour qui déplaisait à beaucoup, disait oui. Sandrine Rousseau, députée écologiste, invitée sur le plateau de Quotidien, dit non.

Selon elle, toute personne qui partage les publications de son compte Twitter parodique « Sardine Rousseau » (qu’elle a tenté de faire interdire… sans succès) la cyber-harcèle.

On se permet de rappeler à Madame Rousseau que le principe de la caricature est précisément d’exagérer les traits caractéristiques des uns et des autres, que ce soit leur accent, la longueur de leur nez ou leurs faits et gestes.

Et si au lieu de vouloir restreindre encore un peu plus la liberté d’expression des autres, Sandrine Rousseau limitait volontairement ses propres prises de parole… Ne serait-elle pas moins caricaturée ?

2 réponses

  1. Ne serait-il pas temps de remettre cette personne à sa juste place c’est à dire hors des UNES journalistiques?Elle dit n’importe quoi, est une ennemie des libertés individuelles, et fait tout pour qu’on parle d’elle.
    Ignorons la et la France ne s’en portera pas plus mal!

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