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Une réponse
Pas réellement dans la ligne de pensée de l'IREF
Je comprends bien qu'il faille adoucir le message pour ménager les susceptibilités, mais le message est devenu tellement dilué/pastel qu'il en ressort une impression que rien de différent du consensus ambiant n'est vraiment dit. Je n'évoquerai que 2 points.
Vous savez que la notion même de "service public" n'existe pas, qu'elle ne désigne que les missions que les hommes de l’État se sont arrogées, et qu'il n'est pas possible de rendre ces services viables économiquement du fait de déficiences intrinsèques (absence de signal-prix, absence de besoin de répondre à une demande exprimée, absence de concurrence, impossibilité du calcul économique en économie planifiée etc, ces raisons se recouvrant largement entre elles), alors pourquoi faire comme si cette notion avait du sens ?
Et pourquoi ne pas dire que la seule façon d'alléger ces services publics de leurs dettes, ne peut passer que par la remise en cause de leur financement imposé par la force, autrement dit par un financement volontaire/facultatif (autrement dit encore par leur mise en concurrence) ?
Deuxièmement, pourquoi dire qu'il faut "poursuivre les efforts en faveur du climat" (sous-entendu, puisque vous dites "poursuivre", celles actuelles menées par les États et tout ce qui s'y assimile), alors que vous pensez très précisément le contraire, et que vous savez que c'est ce qu'il ne faut surtout pas faire si on souhaite retrouver une quelconque prospérité ? Et que vous savez aussi que ces politiques n'ont pas d'autre objet que de dilapider l'argent du contribuable pour empêcher le progrès ?
Dans la formulation de l'article, pas un seul lecteur ne peut comprendre que vous souhaitez autre chose que ce qui est déjà fait par le gouvernement, avec votre formule de "choisir l'optimisme et la confiance dans l'esprit humain" surtout après avoir parlé d'"écologie positive éclairée par la science".
Et ceci, c'est sans parler du fait que le climat se porte très bien.