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Une réponse
On approche de la vérité !
La multiplication des emplois dans la fonction publique est le seul moyen que nos hommes politiques ont trouvé pour résorber le chômage, se faire une clientèle et assurer leur réélection. Sauf que la charge des emplois excédentaires est compensée par l'accroissement des impôts des particuliers et des entreprises, facteur incitant à la réduction de la consommation, à la délocalisation fiscale et industrielle et à l'expatriation. Nous sommes dans une spirale d'accroissement réciproque des impôts et du chômage. En première approximation par l'effet conjugué des 35 heures, de l'absentéisme, et de l'improductivité sous toutes ses formes on peut considérer qu'il y a au minimum 1 million de fonctionnaires et assimilés en trop, tout en reconnaissant que certains corps appartenant aux fonctions régaliennes ont été dégarnis de façon inconsidérée, cet excédent devrait rejoindre le nombre des chômeurs du secteur privé. Votre calcul (en milliers) : Taux de chômage = 5 875,8 / (28 374 -5 430) x 100 = 25,61 %
devient alors :
Taux corrigé = (5 875,800 + 1 000) / [28 374 – (5 430 – 1 000)] x 100 = 28,72 %
La réalité est vertigineuse. En plus d'une réduction drastique des dépenses de fonctionnement et d'assistance, c'est un gigantesque plan social auquel il faut procéder pour remédier à l'effarante dette contractée par des dirigeants ayant atteint le summum de l'incompétence. La première mesure serait de les mettre au chômage et comme ils n'ont pas cotisé ce serait leur donner le loisir d'une réflexion expérimentale bénéfique.