La philosophie du rebond. Voilà comment Julie Graziani a sous-titré son ouvrage qui est une ode à l’entrepreneuriat. Au travers de plusieurs histoires qu’elle a vécues en tant que conseillère pour entreprises en difficulté, allant de l’imprimerie à la messagerie rose, l’auteur livre le récit d’entrepreneurs et de salariés qui souhaitent relancer leurs activités.
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La liberté et l’innovation doivent être les clés du succès de l’Europe
Libérer la force du marché libre et l’esprit d’entreprise est la seule voie possible pour l’Europe. Au lieu d’imiter le système de planification centrale chinois, l’Occident doit revenir aux valeurs qui ont fait sa puissance et sa prospérité : l’innovation, la liberté et l’esprit d’entreprise. Ce n’est qu’à cette condition qu’il pourra relancer ses économies mal gérées et renforcer sa position dans le monde.
La technologie n’est en soi ni bonne ni mauvaise. Elle peut être utilisée de manière bénéfique ou néfaste pour la société.
L’innovation suscite toutefois des craintes, car beaucoup ne comprennent pas suffisamment les nouvelles technologies et les avantages qu’elles apportent. Les gens craignent que les technologies qui permettent de gagner en efficacité et en productivité ne leur fassent perdre leur emploi. Ces craintes ont été très importantes lorsque l’électricité a commencé à être maîtrisée, ou quand on a inventé la machine à vapeur et les voitures à moteur. Pourtant, ces révolutions industrielles ont eu l’effet inverse : la libération de nouvelles formes d’énergie et de machines a permis d’accroître la productivité, les revenus et la prospérité générale. De nouveaux types de demande économique ont donné naissance à de nouveaux emplois et à de nouvelles professions, souvent dans des secteurs qui n’existaient pas auparavant.
Crise du Covid : les Français plébiscitent leur maire et…les entreprises privées
D’après un sondage Odoxa-Backbone consulting commandé par France Info et Le Figaro, 73 % des Français trouvent que leur maire a été à la hauteur au cours de l’année écoulée.…
Le retard européen en matière d’industrie numérique face aux Etats-Unis et à la Chine, a beaucoup été médiatisé mais ce n’est pas le seul domaine concerné. Dans les prochains jours, trois missions spatiales vont atterrir sur la planète Mars : la Chine, les Etats-Unis et les Emirats Arabes Unis ont envoyé des sondes et des robots afin d’en explorer les ressources. On notera l’absence de l’Europe, dépassée par les autres puissances mondiales. Désormais, il est temps que le vieux continent mette sur pied des initiatives. Sans cela, il passera à côté des secteurs économiques d’avenir.
Lors de son audition à l’Assemblée nationale mercredi 10 février, Bruno le Maire s’est réjoui de la bonne santé de l’économie française, qui tourne aujourd’hui à 96 % de son…
Les restaurateurs veulent travailler, l’État veut materner
Au prix de mesures sanitaires drastiques, certains restaurants ont ouvert leurs portes le 1er février, malgré l’interdiction de l’État. Un État qui a envoyé ses forces de l’ordre pour faire…
Google, Apple, Amazon, Facebook, Uber, Airbnb : de nombreuses entreprises ont fondamentalement changé nos vies ces dernières années, et ils en sont les champions. Bien que leurs modèles économiques diffèrent, aucun ne vient d’Europe. Si l’on excepte les serial entrepreneurs de Rocket Internet à Berlin, SAP est la seule grande entreprise du numérique en Allemagne.
L’UE a-t-elle un rôle à jouer pour changer cela? La réponse est oui. Cependant, cela ne se fera pas à coups de nouvelles subvention ou de régulation pointilleuse, mais par l’ouverture des marchés.
Dans un article publié le 15 avril dernier dans le Wall Street Journal, le célèbre éditorialiste Daniel Henninger, inquiet par les conséquences économiques dramatiques du confinement, propose, ni plus ni moins, que les pouvoirs publics soient confinés et que les individus comme les entreprises se prennent en main pour redresser la barre.
L’article 3 du projet de loi de finances pour 2020 prévoit que « Les dirigeants des entreprises dont le siège est situé en France et qui y réalisent un chiffre d’affaires annuel supérieur à un milliard d’euros sont considérés comme exerçant en France leur activité professionnelle à titre principal … » Le chiffre d’affaires consolidé serait pris en compte et les dirigeants concernés s’entendraient « du président du conseil d’administration, du directeur général, des directeurs généraux délégués, du président du conseil de surveillance, du président et des membres du directoire, des gérants et des autres dirigeants ayant des fonctions analogues ».
Dans une Etude récente, l’IREF avait montré qu’un taux d’IS à 25 % stimulerait l’activité et redonnerait confiance aux entreprises. Le CPO (Conseil des prélèvements obligatoires) arrive aux mêmes conclusions.