Hier, nous nous réjouissions de l’ouverture à la concurrence de la ligne de TGV Paris-Lyon. Les cheminots de la SNCF ont aussi réagi, à leur manière. Des préavis de grèves…
concurrence
Dès à présent, il est possible de prendre un autre opérateur que la SNCF pour un trajet en TGV Paris-Lyon ! En effet, la compagnie italienne Trenitalia propose des billets…
Biberonnée à l’argent du contribuable et confortablement installée dans une situation de monopole sur le territoire français, la SNCF n’a pas grand-chose à envier aux autres modes de transports, qui…
Un Français sur deux fait ses courses de Noël sur Amazon
Un sondage d’OpinionWay pour Bonial révèle qu’un Français sur deux fera ses courses de Noël sur la célèbre plateforme Amazon. Un chiffre qui frappe par son importance, et qui étonne…
Pour beaucoup de commentateurs, de journalistes et de responsables politiques, Google et Amazon sont des dangers pour l’économie française, et non des opportunités. Leur puissance et leur position dominante sont décriées. Bruno Le Maire n’a jamais cessé de dire que son principal objectif a toujours été une taxe mondiale appliquée aux GAFA. Valérie Pécresse propose d’ailleurs le démantèlement d’Amazon et Google, les comparant aux gigantesques trusts américains du XXe siècle. En réalité, ce qui est reproché à ces deux GAFAM, c’est leur réussite ; et ils ont réussi parce que les consommateurs les ont utilisés en masse. Pourquoi ? Parce qu’ils rendent des services inégalables à tout le monde, aux particuliers comme aux entreprises. S’attaquer aux GAFAM pénaliserait toute l’économie.
Amazon et les autres GAFA (Google, Apple et Facebook devenu Méta) sont la cible des responsables politiques et des médias. Le Point faisait d’ailleurs une de ses dernières Unes sur la question : Comment Google, Amazon et les autres achètent la France ? De nombreuses directives européennes sont en cours de rédaction et de débats, comme les DMA et DSA (Digital Market Act et Digital Service Act) pour réglementer les activités numériques. La souveraineté numérique, européenne et française, est un grand sujet pour nos gouvernants. Le fait que chaque tentative d’établir une souveraineté numérique se soit soldée par un échec prévisible et un phénoménal gaspillage d’argent du contribuable ne semble pas les préoccuper plus que cela.
Quelle est en réalité la faute des GAFA, si ce n’est la réussite commerciale ? Avoir réussi semble être une condition suffisante pour que soient poursuivies des foudres publiques ces entreprises qui apportent des services de grande qualité aux usagers européens (et mondiaux), particuliers comme entreprises.
Si nos gouvernants souhaitent réglementer et taxer ces géants du numérique, nos entreprises nationales de la grande distribution, elles, souhaitent les concurrencer. Une manière de gagner des parts de marché, de se développer et d’offrir de nouveaux services aux clients.
M. Macron, avant de critiquer les mutuelles, réformez l’Etat et baissez les taxes et les impôts !
C’est un comble ! L’Etat reproche aux mutuelles leurs tarifs et frais de gestion ! Pour ces raisons, il voudrait les fondre dans une « Grande Sécu ». C’est donc…
Le numérique est une invention aussi extraordinaire et prometteuse que redoutable et dangereuse. Tout dépend de l’usage qu’on en fait. Comme pour le nucléaire. Facebook est sans doute la plateforme qui a le plus d’utilisateurs, 3Mds dans le monde ! C’est aussi pourquoi elle est la plus forte et la plus fragile, la plus aimée et la plus attaquée.
L’ONDAM (Objectif national des dépenses d’assurance maladie) continuera à progresser fortement en 2022 : +3,8 % hors dépenses liées à la crise sanitaire, +2,6 % hors dépenses liées au Ségur de la santé et à la crise sanitaire.
Une provision de près de 5 Md€ en 2022 pour poursuivre le financement de l’accès aux vaccins et de la stratégie « tester, alerter, protéger ». Cela représente, hors dépenses liées à la Covid-19, +28,8 Md€ par rapport à 2019. A titre de comparaison, l’ensemble des hausses de l’ONDAM de la décennie 2010 s’est élevé à +36,6 Md€.
L’enseignement supérieur privé est très dynamique. Pourtant, il est beaucoup plus onéreux pour les étudiants que l’enseignement public dont les frais de scolarité sont limités à quelques centaines d’euros par an. Tous gagneraient à favoriser le développement du secteur privé.