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Les changements climatiques « dangereux » et les phénomènes météorologiques extrêmes ne sont pas causés par les émissions de CO2 des combustibles fossiles

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Trois éminents chercheurs témoignent contre le GIEC à la Cour de La Haye.
Nous publions la synthèse de leur « opinion » établie par leurs soins

« Cet avis d’expert a été préparé pour la Fondation « Environnement et Homme » (Stichting « Milieu en Mens », M&M) en vue d’être soumis à la Cour d’appel de La Haye dans l’affaire Shell c. Milieudefensie et al, dans laquelle M&M est intervenue (l’« Affaire du climat »).

Cet avis a été rédigé conjointement et représente notre opinion commune. Le temps que nous avons consacré à la rédaction de cet avis a été fourni à titre gracieux.

Nous sommes des physiciens de carrière qui se sont spécialisés depuis des décennies dans la physique des rayonnements, le transfert de chaleur dynamique et la modélisation informatique, des sujets directement liés au débat sur le réchauffement climatique.

Chacun d’entre nous a publié plus de 200 articles évalués par des pairs, dont un grand nombre sur la science du climat ou des sujets étroitement liés. Nos curriculum vitae sont joints en annexe.

À notre avis, les conclusions du tribunal de district de La Haye selon lesquelles les changements climatiques « dangereux » et les phénomènes météorologiques extrêmes sont causés par les émissions de CO2 des combustibles fossiles sont contredites par la méthode scientifique et ne sont étayées que par les méthodes non scientifiques des opinions gouvernementales, du consensus, de l’examen par les pairs et des données triées sur le volet ou falsifiées.

La science démontre que les combustibles fossiles et le CO2 ne provoqueront pas de changement climatique dangereux. Au contraire, si les combustibles fossiles et les émissions de CO2 sont réduits à « zéro net », cela aura des conséquences désastreuses pour les populations du monde entier, y compris une famine massive.

Plus précisément, notre avis s’articule autour des questions clés suivantes, qui ont été soulevées devant le tribunal de district de La Haye dans l’affaire du climat :

  • Premièrement, la réduction à « zéro net » des émissions de combustibles fossiles et de CO2 aura des conséquences désastreuses pour les pauvres, les populations du monde entier, les générations futures et l’Occident, notamment une famine de masse et la perte d’une énergie fiable et peu coûteuse. Cette action portera atteinte aux droits de l’homme, qui sont au cœur de l’affaire climatique, et paralysera la réalisation des trois premiers objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, à savoir l’élimination de la pauvreté, l’élimination de la faim et la promotion de la santé et du bien-être.1
  • Deuxièmement, la Cour a assimilé en première instance l’état de la science du climat aux rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Dans la partie II, nous démontrons que les rapports du GIEC n’ont aucune valeur scientifique car le GIEC est contrôlé par le Le GIEC ne représente donc que les opinions du gouvernement, et non la science, et ne fournit donc aucune base scientifique pour l’avis de la Cour2.
  • Troisièmement, la Cour a estimé en première instance que les changements climatiques « dangereux » et les phénomènes météorologiques extrêmes sont causés par les émissions de CO2 provenant des combustibles fossiles. Nous démontrons dans la partie III que ces conclusions sont contredites par la méthode scientifique et ne sont étayées que par les méthodes non scientifiques du consensus, de l’examen par les pairs, des avis gouvernementaux et des données sélectionnées ou falsifiées. Des centaines d’articles de recherche confirment les effets extrêmement bénéfiques de l’augmentation des concentrations de CO2 dans l’atmosphère, en particulier dans les régions agricoles sèches.

Richard Lindzen – Professor of Earth, Atmospheric, and Planetary Sciences, Emeritus Massachusetts Institute of Technology

William Happer – Professor of Physics, Emeritus Princeton University

Steven Koonin- University Professor, New York University, Senior Fellow at the Hoover Institute November 30, 2023 Court of Appeals The Hague The Hague The Netherlands

Lire le témoignage complet (anglais) sur le site Climat et vérité

Lire la traduction française

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25 commentaires

nanard 31 octobre 2024 - 9:07 am

bonjour, les curieux iront voir sur internet la définition de ENSO (el nino, la nina), pourront y voir des animations qui expliquent le phénomène ( par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=MLAVDHDhEC4 ) et surtout consulteront : https://lejournal.cnrs.fr/articles/un-apres-son-eruption-les-lecons-du-volcan-hunga-tonga. Cet « accident » nous réserve encore des surprises. Conclusion nous apprenons encore….

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duriiez 31 octobre 2024 - 9:14 am

l’évolution du climat met en jeu une multitude de facteurs. Comme souvent il en existe de prépondérants mais également de séduisants qui peuvent nourrir des idéologies parfois fantaisistes. Il faut être humble et vigilant dans l’analyse des faits et ne pas céder aux a priori. Le GIEC émet des avis mais ces avis doivent être confrontés à d’autres pour pouvoir en extraire des orientations qui elles mêmes doivent être confrontées à d’autres critères avant d’en faire des règles absolues.

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Nemouk 31 octobre 2024 - 9:46 am

« le GIEC est contrôlé par le Le GIEC » ?

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Laurent46 31 octobre 2024 - 10:14 am

Une fois de plus qui a permis de construire en zones inondables, ce qui se fait encore aujourd’hui. Les même idiots n’ont fait que des coups tordus en canalisant ou pire encore en couvrant ruisseaux, torrents, rivières et même fleuves pour le fric d’une caste mafieuse d’irresponsables. Pour les incendies c’est idem à cause de toute cette irresponsable boue écolos les forêts deviennent impraticables tellement il y a de branches mortes alors qu’autrefois avant les 50 dernières années et l’arrivée de toute cette racaille écolos les propriétaires de forêts étaient tenus de les nettoyer régulièrement faute de PV. Il est vrai aussi qu’à cette époque là il y avait un garde champêtre qui circulait à pied à travers les communes avec son petit carnet tous les jours de la semaine alors que de nos jours ils sont aux 35 h de présence et le Q vissé dans une voiture, s’il n’ont pas la mission de coursier pour ma Mairie, comme ils sont peu nombreux aujourd’hui à simplement nettoyer devant leur porte ou propriété. La fainéantise et la responsabilité est à tous les étages.

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Cardonne Yves 31 octobre 2024 - 10:18 am

D’affreux complotistes … à coup sûr ! Quand allons nous nous réveiller ?

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Hernandez 31 octobre 2024 - 4:12 pm

A vous lire…c’était mieux avant!
Bien sûr des choses dont à déplorer aujourd’hui, mais quand même, faut pas faire une généralité, des déconvenues de votre environnement !

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BRUNO GERMAIN 31 octobre 2024 - 1:07 pm

En effet, ces très brillants savants confirment que le dérèglement climatique clamé à tout va 24h sur 24H par les idéologues bien pensant d’une gauche despotique et dont la culture scientifique est médiocre, voire au niveau zéro, n’est qu’une irréalité, vaste tromperie et nous conduire toujours à la culpabilité, au péché mortel et à l’enfer.
A l’échelle de l’univers infini et sur des milliards de milliards d’années, l’on peut ou l’on doit se poser la question sur l’innovation, le moteur à explosion, le four à pain du boulanger, le réfrigérateur, l’éclairage électrique, le téléphone (quelle invention inutile et stupide de Graham Bell !) et patati et patata ……
Sans être savant bien-sûr, mais réfléchissant un peu, leurs profonds travaux me confortent dans mes intuitions de brave terrien.
Je m’arrête modestement là car ce débat est immense, hors de notre échelle et doit être abordé avec modestie et surtout intelligence, loin des poncifs habituels. Bon sang ! Je vais certainement me faire rembarré ou insulté.
Cela n’empèche pas de ne pas gaspiller nos ressources, mais c’est autre-chose.

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Jacques Baudouin 1 novembre 2024 - 12:21 pm

Ni rembarré, ni insulté ! Bien au contraire, vous êtes un homme de bon sens, ce qui devient de plus en plus rare aujourd’hui !

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PhB 3 novembre 2024 - 12:58 am

Comme le dit Jacques, tout à fait d’accord avec Bruno.
L »être humain, ce gros prétentieux n’y est pas pour grand chose sur le climat, par contre pour salir la planète avec ses déchets de toutes sortes, il est très fort.
Chacun à son niveau peut (ou doit) faire attention à ne pas gaspiller nos ressources.
La planète n’a pas besoin de nous, elle ne nous appartient pas, nous n’en sommes que des occupants, comme le reste du monde vivant

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Lipcey 31 octobre 2024 - 2:33 pm

Attention, la traduction française dit, à un endroit dans la conclusion, le contraire de ce qui est écrit et de la thèse défendue : « sans combustibles fossiles, il n’y aura pas d’engrais azotés et donc pas de famine de masse…». Le texte initial est « and thus mass starvation » qui se traduit , évidemment, « d’où famine de masse ». Comment peut-on laisser passer un pareil contresens ?
Encore une belle illustration de l’expression italienne : tradutore = traditore, difficilement traduisible : traducteur = trahisseur, mais ce mot n’existe pas en Français.

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Eschyle 49 31 octobre 2024 - 3:16 pm

C’est parfaitement logique: le GIEC présente trois caractéristiques:
1) ce sont des anonymes, c’est systématiquement :  » GIEC a dit ! Jacadi a dit ! « , mais derrière , qui ? Personne ;
2) le GIEC refuse tout débat contradictoire , sa litanie est parole d’évangile ;
3) c »est un aréopage d’ultracrépidariens , c’est-à-dire de gens qui, à force d’études, savent presque tout sur presque rien , mais sont convaincus que leur savoir représente la totalité de la connaissance humaine .

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Perisse 31 octobre 2024 - 3:45 pm

Contrairement à la pensée écologique majoritaire le CO2 c’est la vie !!! Nous sommes en famine carbonée et l’indice carbone une gigantesque fumisterie et une arnaque financière.
Cet article est excellent remet les pendues à l’heure mais ne sera pas suivi par nos politiques car 50 ans de propagande ne s’effacent pas d’un trait de plume.

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Gautron 31 octobre 2024 - 4:21 pm

Quand cette escroquerie cessera-t-elle de polluer la marche intelligente du monde ?

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Lionel Berthelier 31 octobre 2024 - 4:45 pm

Je permets de rappeler que le GIEC est un organisme créé par l’ONU pour observer les changements climatiques. (Groupement Intergouvernemental pour l’Evolution du Climat.
Il n’y aucun expert là dedans. Ce sont des OBSERVATEURS qui interprètent les changements dans leur pays. Aucune valeur scientifique n’est de rigueur. On ne leur demande pas.

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Michel M 31 octobre 2024 - 4:49 pm

Les trois scientifiques cités sont tous retraités et je me demande s’ils ont encore accès aux nouvelles recherches et si ils ne sont pas aigris vu leur âge

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Nicolas Lecaussin 31 octobre 2024 - 5:08 pm

pas besoin d’être aigri pour rechercher la vérité scientifique

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Jojo78 31 octobre 2024 - 5:19 pm

La première des questions à se poser est : est-ce bien le CO² qui est la cause principale du réchauffement climatique ? On entend tout le temps que le CO² est le gaz à effet de serre à éliminer, à ne plus produire. Pour qu’il y ait effet de serre, il faut que ce gaz reste en haute altitude, or le CO² est un gaz plus lourd que l’air, c’est-à-dire qu’il va naturellement descendre au raz du sol et des mers. Soit le CO² est réellement notre problème et ce n’est que le trafic aérien qui le génère et ne nous embêtez plus avec nos voitures et occupez-vous des avions, soit c’est un autre gaz qui provoque cet effet de serre. Je pense plus au méthane qui est un gaz léger et qui est contenu en très grosses quantité dans le permafrost qui se réchauffe et fond en libérant une énorme quantité de méthane.
J’ai lu un article sur une étude des carottes glaciaires qui faisait le lien entre la température moyenne du globe et le taux de CO². Les 2 courbes montent depuis près de 200 000 ans, bien avant l’aire industrielle. Des progrès énormes ont été réalisés dans la datation des événements et de vrais scientifiques ont découvert sur une cassure des ces courbes que la température montait AVANT la montée du taux de CO². Le CO² n’est peut-être pas la cause du réchauffement, mais la conséquence de l’élévation des températures. Il faut se battre sur les causes, pas contre les conséquences.

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Guignard Jean-Louis 31 octobre 2024 - 7:25 pm

Merci à ces scientifiques pour leur rigueur Iles ont Pas d opinion (sic) mas la conclusion d analyse
Méfions de tous les politiques qui avancent des OPINIONS qui annihilent la vraie réflexion rigoureuse

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ROCHE 31 octobre 2024 - 9:51 pm

A quand la dissolution du GIEC ???????

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Palef 1 novembre 2024 - 2:54 am

La traduction officielle de IPCC en GIEC est basée sur une imposture et une omission :
1/ Imposture : La traduction de « panel » en « groupe d’experts » est une faute. Les « vrais » dictionnaires définissent un panel comme « un groupe de personnes constitué en vue d’un sondage ». Le sens « groupe d’experts » n’est apparu que dans les années 90 et uniquement dans le Petit Larousse suite à la traduction abusive dont question ici.
2/ Omission : Suivant les statuts tant de l’IPCC que du GIEC, il manque un « A » final pour « Anthropic/que » : « IPCCA = Intergouvernemental Panel for Climate Change of Anthropic origin » et GIECA – Groupe Intergouvernemental pour l’Evolution Climatique d’origine Anthropique (ou mieux PICCA – Panel Intergouvernemental pour le Changement Climatique d’origine Anthropique).
De plus, il faut faire la différence entre les rapports du PICCA qui font quelque 3000 pages et dans lesquels il est constaté la grande complexité du climat et donc les incertitudes sur les conclusions, et le rapport pour les gouvernants qui fait 90 pages, écrit par … les gouvernants qui, là, concluent, décident, réglementent, …
Les faits eux-mêmes démontrent la plus belle escroquerie que nous ayons jamais connue…
Ces deux points sont importants et permettent de comprendre que cet organisme n’est jamais qu’une agence chargée de recruter et subsidier des chercheurs pour étudier l’influence humaine sur le climat et aucune autre..
Ce ne serait une démarche scientifique que si les autres influences avaient été scientifiquement éliminées, scientifiquement et non arbitrairement et idéologiquement. Ce qui est loin d’être le cas…
Par ailleurs, le scepticisme est la base de la science. Une science sans le doute est un dogme, une religion.
Qualifier un consensus de « scientifique » est un non-sens. Quelles que soient l’origine et la raison d’un consensus, son objectif principal est de censurer tout opposant au dogme qu’il défend. Par exemple, le consensus géocentriste mis en danger par l’héliocentrisme de Copernic et Galilée.
Enfin, la climatologie est basée sur les statistiques et les probabilités. Or la seule preuve qu’une probabilité est exacte est qu’elle se réalise. Et jusqu’à présent (restons dans le doute scientifique), ce n’est pas le cas; quels qu’en soient les auteurs dont : Murray East (1923), Osborn (1940) Erlich (1968), Al Gorre (2006), Club de Rome (1972),…

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Raynaud 3 novembre 2024 - 10:44 am

La méthode utilisée par certains lobbies est connue, semer le doute en s’appuyant sur des experts. Cela a été pratiqué pour l’industrie du tabac et cela perdure dans d’autres domaines.

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Papili Aussi 3 novembre 2024 - 11:00 am

On peut dire beaucoup sur le GIEC et en particulier sur l’algorithme qui a été conçu pour démontrer une conclusion prise au préalable.
Mais il est dit des choses interessantes dans le résumé du mois d’août 2021 (Summary for Policy Makers) de son premier groupe de travail (IPCC/ AR6/WG1/ SPM) présidé par la Française Valérie Masson-Delmotte où figurent deux phrases qui se succèdent page 28 (point D1.1) :
* Chaque millier de milliards de tonnes d’émissions cumulées de CO2 cause un accroissement de la température terrestre dont la meilleure estimation est de 0,45°.
* Chaque tonne de CO2 émise accroît le réchauffement climatique.
La succession de ces deux phrases paraît logique, mais est en réalité un sophisme typique si ce n’est un mensonge. Elle conduit en effet inéluctablement le lecteur à en déduire que s’il réduit ses émissions de CO2, il contribuera à la lutte contre le réchauffement climatique.
1 et 1000 milliards
Pourtant, les émissions d’un milliard (1 000 000 000) de tonnes de CO2 elles-mêmes n’ajouteraient rien au réchauffement climatique, puisque le GIEC précise ci-dessus qu’il en faudrait mille fois plus (1 000 000 000 000) pour élever la température terrestre de moins d’un demi-degré !
Que dire alors d’une seule tonne, si ce n’est que son influence est a fortiori nulle, et que l’affirmation du GIEC que « chaque tonne de CO2 émise ajoute au réchauffement climatique » ne résiste pas à l’analyse et est un mensonge ?
Et c’est ce mensonge qui gouverne le monde depuis plus de 30 ans.

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Lombled 3 novembre 2024 - 11:59 am

GIEC = Groupe d’intérêts économiques et commercial. Donc bidon.

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Taras 3 novembre 2024 - 4:58 pm

Pourquoi n’en parle t on pas aux médias françaises et en particulier à la télévision. Lisez le livre Les illusionnistes qui vient de sortir vous aurez l’explication …

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Gérard 6 novembre 2024 - 3:48 pm

Cela fait des années que l’on sait que le GIEC raconte des histoires pour justifier les décisions criminelles des gouvernements (Nouvel Ordre Mondial) destinées à réduire la population mondiale. Ce qui est triste, c’est que la majorité des gens ne prend pas la peine de réfléchir, et avale les bobards des gouvernements sans sourciller, et refuse de voir la réalité.
Le pire est que les jeunes générations soient dans cette perspective comme leurs parents, et refusent de réfléchir sur les vraies cause sue réchauffement : la précession des équinoxes ainsi que les éruptions solaires exceptionnelles.

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