Le lundi 8 novembre 2021 a débuté la neuvième conférence des parties à la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac (CCLAT). L’IREF a apporté sa pierre à cette COP9 en participant à l’étude lancée par Property Rights Alliance (PRA), une organisation de défense des droits qui se consacre à la protection de l’innovation, des droits de propriété intellectuelle et des droits de propriété physique dans le monde entier.
Philbert Carbon
Environ 30 000 mille personnes se seront rendues à Glasgow entre le 31 octobre et le 12 novembre pour la COP26. Principalement pour échafauder des plans destinés à faire baisser les émissions de gaz à effet de serre.
Les dépenses pré-engagées représentent un tiers des dépenses des ménages
Une récente étude de France Stratégie, le prétendu « think tank » du gouvernement, traite des dépenses pré-engagées des ménages. On pensait y trouver quelques explications à la polémique sur le pouvoir d’achat. En effet, selon un sondage récent – OpinionWay-Square du 20 septembre 2021 pour Les Échos et Radio Classique – 56 % des Français estiment que leur pouvoir d’achat a diminué sous le quinquennat d’Emmanuel Macron. Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie et des Finances, affirme au contraire que le pouvoir d’achat des ménages a augmenté de 1,5 % depuis 2017.
Malheureusement, la note de France Stratégie ne nous apprend presque rien. Elle passe même à côté de l’essentiel.
Daniel Pryor est responsable des programmes de l’Adam Smith Institute, un des principaux think tanks britanniques – fondé dans les années 1970 – promouvant les idées libérales et le libre marché. Diplômé en politique, philosophie et économie, Daniel Pryor est très présent dans les médias d’outre-Manche (The Telegraph, The Guardian, The Times, BBC One, Sky News, BBC News, etc.). En mai 2021, il a publié une étude
intitulée « L’opportunité en or. Comment la Grande-Bretagne peut prendre la tête de la réduction des méfaits du tabac et sauver des millions de vies ».
Les entreprises françaises se portent mieux… mais elles vont bientôt faire faillite
Il y a quelques jours, le Conseil d’analyse économique (CAE) affirmait : « la situation de trésorerie des entreprises s’est nettement améliorée pour la quasi‐totalité des secteurs d’activité ». Au même moment, l’assureur-crédit Euler Hermes prédisait « un rebond des défaillances d’entreprises en 2022 ».
Ces informations peuvent paraître paradoxales. Elles constituent pourtant les deux faces d’une même pièce. Explications.
Emmanuel Macron a récemment tancé nos sportifs qui n’ont pas ramené, à son goût, assez de médailles olympiques de Tokyo. Se félicitera-t-il des nouvelles médailles que notre pays a remportées dans la course à la taxation ? La France se classe en effet à la 2ème place mondiale des pays qui taxent le plus le capital et à la 1ère place européenne.
Biden aime tellement les pauvres qu’il veut aggraver la misère
Aux États-Unis, la taxe fédérale sur les cigarettes va être doublée, passant de 1 à 2 dollars par paquet. C’est un des moyens qu’a trouvé l’administration Biden pour financer ses…
Un salarié français sur cinq en situation de déclassement professionnel. La faute à l’Éducation nationale !
Selon une étude réalisée par l’Insee en Occitanie, environ 390 000 salariés (chiffre portant sur l’année 2017), sur 1,8 million, se trouvaient en situation de déclassement professionnel, soit un salarié sur cinq. Pour l’ensemble de la France métropolitaine, plus de quatre millions de salariés pourraient ainsi se trouver dans cette situation.
Avant de nous plonger dans les chiffres, précisons ce qu’est le déclassement professionnel. L’Insee l’apprécie à partir du lien entre le niveau de diplôme d’un salarié et sa profession. Ainsi, il y a adéquation lorsque le niveau de diplôme du salarié correspond à celui qui est le plus fréquent au niveau national pour la profession exercée. Si sa qualification est inférieure, il est en situation de surclassement. Si elle est supérieure, le salarié est alors en situation de déclassement.
La campagne présidentielle de 2022 n’a pas encore vraiment commencé, mais les propositions électoralistes tombent comme à Gravelotte ! On s’en serait douté, Jean-Luc Mélenchon entend bien conserver la place…
En décembre 2016, à Deauville, au Women’s Forum, à l’aube de sa campagne électorale, Emmanuel Macron déclare : « Les progressistes sont ceux qui croient en l’innovation, l’égalité entre les genres, à l’environnement, au numérique, à l’équité et à l’égalité des chances dans notre société et en Europe ». Une fois élu, il affirme – en novembre 2017 – qu’il sera « personnellement attentif » à ce que l’égalité entre les femmes et les hommes, la « grande cause » de son quinquennat », permette « de faire de notre société une société plus égalitaire, plus juste ». Lorsqu’il prend la présidence du G7 en janvier 2019, Emmanuel Macron annonce que la lutte contre les inégalités sera « la priorité de la présidence française, au premier rang desquelles l’égalité entre les femmes et les hommes ». Le 8 mars 2020, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, il affirmait : « notre génération sera celle de l’égalité femmes-hommes ».