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La vérité sur les tsiganes

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Une véritable hystérie s’est déclenchée autour de l’expulsion des Roms. Les médias, les politiques – de droite ou de gauche -, les « spécialistes », chacun réagit de manière différente mais rares sont ceux qui trouvent les arguments justes et efficaces. Je me permets de réagit ne serait-ce que parce que ces Roms arrivent surtout de mon pays d’origine, la Roumanie.

J’ai donc eu souvent affaire à eux si l’on peut s’exprimer ainsi, sans heurter certaines sensibilités. Je tiens à préciser d’emblée une chose : la plupart de ces Roms (tsiganes) sont nomades. Vous pouvez leur offrir un château, ils l’abandonneront quelques jours après… C’est un aspect que les autorités (y compris les instances bruxelloises qui font pression sur le gouvernement roumain) et les associations qui les défendent ne comprennent pas très bien. Un nomade n’accepte pas un logement ou, s’il le fait, c’est pour une période très courte. Ou pire encore, il ya eu des cas où le logement a été illégalement vendu. La deuxième caractéristique importante de cette population c’est qu’ils sont asociaux. Les tsiganes rejettent toute contrainte ou obligation, ils se considèrent aussi libres que les Tartares du célèbre roman de Dino Buzzati. Ils agissent selon leurs propres lois et rites et ils considèrent qu’ils n’ont des comptes à rendre à personne. D’où le refus de travailler et de vivre comme nous tous. Ils ne survivent que grâce au petit commerce de métaux (« caldarari ») ou bien au vol. Pour les plus talentueux, la musique est devient un métier à part entier. Ceux qui savent jouer du violon sont embauchés aux mariages et peuvent très bien gagner leur vie. Pour les autres, il reste le vol. C’est une réalité que leurs défenseurs nient en méconnaissance de cause. Les femmes (je n’ai jamais vu une femme tsigane faire autre chose que mendier ou voler) et les enfants se consacrent à ce métier et souvent ils le font d’une manière organisée. La mendicité est une autre occupation tsigane. Ce ne serait pas condamnable s’ils n’utilisaient pas les enfants dans ce but en allant jusqu’à les estropier pour un meilleur rendement sur la place publique. Il est vrai, il existe des villages tsiganes en Roumanie. La plupart, on les reconnaît de loin : des taudis immondes ou bien des énormes villas avec ascenseur et décorées avec un style d’un kitsch absolu. Dans les deux cas, il est déconseillé de s’y aventurer la nuit même si, le plus souvent, la population majoritaire de ces villages est formée de vieillards. Les plus jeunes sont partis en Occident en quête d’argent…

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