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An enterprising, liberal and generous Mind

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Il s’agit d’un recueil d’essais sous la direction du professeur Kurt R. Leube et publié en l’honneur du Prince Michael de Liechtenstein, entrepreneur, commentateur, analyste et mécène qui ne cesse de militer au service des idées libérales. Les contributeurs – des universitaires et des acteurs de la société civile de nombreux pays, un ancien président (Vaclav Klaus) ou bien un ancien ministre (Mel Cappe) – passent en revue différents thèmes qui sont chers au prince Michael. La géopolitique et les extraordinaires mutations actuelles avec l’essor des populismes et le retour des nations. C’est maintenant que la société civile doit jouer un rôle important et influer sur les décisions gouvernementales. L’exemple du petit Etat du Liechstenstein, – un « îlot de libertés » comme le nomme Vaclav Klaus – nous rappelle qu’il est tout à fait possible de limiter les pouvoirs des gouvernements tout en faisant confiance à la démocratie directe et aux droits de propriété.

« Small is beautiful ». Cette maxime est valable aussi dans le domaine de la finance. Le Liechtenstein en constitue la preuve avec un système fiscal entrepreneurial et non pas « parasitaire », comme l’écrit justement le professeur Steve H. Hanke. Ce système est à l’opposé de la pression fiscale pratiquée dans des pays comme la France et aussi une vraie alternative à la très dangereuse harmonisation fiscale demandée de plus en plus au niveau européen.
L’entrepreneuriat est l’affaire des individus et non pas du gouvernement. Ca ne se décrète pas. Ce qu’il faut c’est donner le plus de liberté aux entrepreneurs et les laissez faire ! Un crédo partagé par tous ceux qui s’opposent aux réglementations et à la coercition bureaucratique. Et Michael von Liechstenstein en fait partie ne serait-ce que par ses activités entrepreneuriales. Le professeur Pauline Dixon rappelle que le marché fonctionne justement grâce aux initiatives entrepreneuriales, quels que soient les pays ou les continents concernés, y compris dans l’éducation des enfants. D’ailleurs, pourquoi ne pas insuffler cet esprit entrepreneurial chez les politiques ?
Comme l’a très bien écrit Ludwig von Mises, la liberté doit être décrite comme la somme des relations sociales entre les individus dans une économie de marché. Michael von Liechtenstein, en tant qu’entrepreneur des idées, continue ce travail en faveur de la liberté.

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