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Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie

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Inspecteur du travail. Dix-neuf lettres que craignent les chefs d’entreprises, car à l’instar du docteur Knock qui voyait dans tout bien portant un malade qui s’ignore, l’inspecteur du travail voit dans tout entrepreneur un coupable patenté.

Martine K. (l’anonymat est requis pour éviter les « représailles ») est directrice générale d’une ESN (entreprise de services du numérique) située en Ile-de-France. Elle a eu la surprise de recevoir dernièrement la visite de l’inspecteur du travail. Elle a tenu à nous la raconter tant cette visite, rien moins que courtoise, révèle le mépris de ces fonctionnaires pour les entrepreneurs, mais aussi pour les travailleurs qu’ils sont censés protéger.

En cette matinée du jeudi 1er avril 2021, les températures sont encore fraîches mais les éclaircies annoncent une journée agréable. Martine K. se demande si, comme l’année dernière, elle va se faire piéger par le canular préparé par ses collaborateurs. Quand l’hôtesse d’accueil l’avertit que l’inspecteur du travail demande à la voir, elle se dit qu’elle va essayer de ne pas rire et de jouer le jeu le plus longtemps possible. Mais, dès qu’elle aperçoit l’individu dans le hall d’accueil, elle comprend qu’il ne s’agit pas d’un poisson d’avril. Malgré le masque qu’il porte, elle perçoit nettement son hostilité. Le regard ne trompe pas.

Il montre sa carte et ouvre immédiatement le feu en reprochant à Martine K. de l’accueillir sans porter de masque. L’inspecteur qui, du hall d’accueil, a une vue sur l’open space, constate aussi que plusieurs des salariés ne le portent pas non plus. Pour lui, aucun doute possible : Martine K. appartient bien à la catégorie, largement majoritaire, des patrons exploiteurs.

Mais le non-port du masque ne semble être finalement qu’une broutille. Ce qui le met réellement hors de lui, c’est le nombre de collaborateurs présents dans les locaux. Une petite vingtaine de personnes est effectivement présente ce jour-là, preuve manifeste que l’entreprise n’a pas mis en place le télétravail, faisant fi des consignes gouvernementales.

Un inspecteur du travail qui donne des conseils en informatique à une entreprise spécialisée… en informatique

Après une visite complète des locaux, l’inspecteur revient sur le sujet du télétravail qu’il estime tout à fait possible étant donné l’activité de l’entreprise. Pour lui, seule la hotline ne peut être « décentralisée ». Martine K. lui explique alors que l’entreprise traite, pour ses clients, des données extrêmement sensibles (numéros de téléphone, adresses postales et électroniques, identifications bancaires, revenus imposables, etc.) pour lesquelles elle est soumise à une obligation de confidentialité. Afin de satisfaire à cette obligation de résultat (et non de moyens), l’entreprise n’a pas trouvé d’autres solutions que de limiter l’accès à ses ressources (serveurs, logiciels) au siège de la société où elles sont parfaitement sécurisées et paramétrées pour éviter toute fuite de données confidentielles. Fuite de données qui, soit dit en passant, serait punie par la CNIL si elle se produisait. Mais cela, l’inspecteur du travail n’en a cure. Seul le Code du travail l’intéresse !

Généraliser le télétravail conduirait donc, d’une part à ne pas respecter l’obligation de confidentialité à laquelle l’entreprise est tenue vis-à-vis de ses clients, et d’autre part à risquer de dégrader fortement le service rendu à ces mêmes clients qui peineraient alors à maintenir leur activité. Le travail à distance n’est donc pas envisageable, sauf à mettre en péril les relations commerciales entre l’entreprise et ses clients.

Cette argumentation ne convainc pas l’inspecteur du travail qui se permet alors de donner des conseils sur l’informatique à distance, oubliant sans doute qu’il est dans les locaux d’une entreprise dont l’informatique est le métier !

Ce monsieur s’interroge également sur la présence de commerciaux dans les locaux. Martine K. lui explique que les commerciaux, en déplacement deux à trois jours par semaine, passent le reste du temps au bureau afin de répondre à des appels d’offres publics. Une action qui n’est possible qu’avec une clé, unique et spécifique, qui se trouve au siège de la société.

Mais l’inspecteur du travail, qui s’est bien gardé d’interroger les salariés présents pour leur demander leur avis, n’en démord pas : l’entreprise doit définir une organisation qui inclura la mise en place du télétravail.

Clients, emplois, relations commerciales… des mots que l’inspecteur du travail n’arrive pas à prononcer

Peu importe que le télétravail ne permette pas à l’entreprise de respecter ses obligations vis-à-vis de ses clients et puisse la conduire à licencier. L’inspecteur du travail reviendra alors s’assurer que la procédure de licenciement a bien été respectée !

Peu importe que les salariés préfèrent venir travailler sur place plutôt que rester chez eux où certains souffrent de l’isolement. L’inspecteur du travail indique qu’il existe un numéro vert d’écoute, soutien et conseils aux télétravailleurs : le 0 800 13 00 00 !

Peu importe que l’entreprise vienne d’embaucher quatre collaborateurs, en pleine période d’intégration pendant laquelle leurs collègues les forment, en présentiel, aux méthodes et logiciels maison. L’inspecteur du travail précise que ces salariés devraient rester chez eux et que le dispositif exceptionnel de chômage partiel est fait pour parer à de telles situations !

En pleine pandémie, l’inspection du travail tombe donc le masque et montre qu’elle n’a que faire des contrats commerciaux entre une entreprise et ses clients, de ses créations d’emplois, de sa rentabilité et, par conséquent, de sa pérennité.

Heureusement, cette mission d’emmerdement maximum de la France qui travaille attire de moins en moins. En 2019 et 2020, les postes ouverts par l’inspection du travail n’ont pas pu être tous pourvus. Faute de candidats !

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18 commentaires

zelectron 11 mai 2021 - 1:33

Quand l’irrespecteur est formé en Pol Pot du travail marxo+léniniste
Les fossoyeurs du travail baignent au cours de leur (dé)formation dans une ambiance de « ène » paroxysmique des patrons et des entreprises surtout quand elles sont en bonne santé pour in fine les rendre malades. Qu’importe le dépôt de bilan et ses nombreux salariés au chômage !

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guillot 11 mai 2021 - 4:45

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Un fonctionnaire doit obéir à ses chefs et celui-ci ne fait qu’appliquer les consignes de sa ministre qui en représentante de notre haute fonction publique n’a de cesse que de donner des ordres aux chefs d’entreprise. À l’écouter le travail à distance c’est cinq jours par semaine donc exit le bureau. En vertu de quoi ce ministre se permet-il de donner des ordres aux chefs d’entreprise, à ma connaissance rien ne l’y autorise puisque la mise en place du télétravail modifie les conditions de responsabilité du chef d’entreprise dans de nombreux domaines. À écouter ce ministre elle sait tout, connaît tout mais à été rattrapée par ce virus alors qu’elle devait être elle-même en télétravail à moins qu’elle appartienne à cette catégorie d’individus dont la devise est « faites comme je dis mais pas comme je fais ». Sans doute à t elle déjà la réponse à ce commentaire impertinent.
PS si nos politiques voulaient lutter contre le chômage je crois que nous le saurions. Nous avons dans l’exemple ci-dessus l’illustration parfaite de ce que le chômage n’est pas la préoccupation de son ministère

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montesquieu 11 mai 2021 - 7:08

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Il y a longtemps que nous savons que l’inspection du travail est une administration anti entreprises privées et qu’elle recrute et attire des individus qui pensent de même.
Seule consolation actuelle, elle peinerait à recruter!
Bel exemple d’inspectrice du travail ayant « réussi », madame Hidalgo dont les victimes ont un souvenir cuisant.
Combien de faillis et de chômeurs « éventuels » à son actif?
Son intransigeance, son incapacité à prendre en considération les avis qui la contrarient, son interprétation personnelle des lois et règlements sont caractéristiques de la profession qu’elle exerça et qu’elle reproduit au détriment des parisiens. Sa vérité proclamée peut être en totale contradiction avec la réalité, peu lui chaut!

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Benoit 11 mai 2021 - 7:16

coup d’état sanitaire
Il y a deux sujets:
L’inspection du travail, avec les éventuels abus et nécessités.
Le coup d’état sanitaire, qui a tout ‘d’un coup d’état’ et rien à faire avec le sanitaire et donne donc notre ‘absurdistan’ actuel.
Le gendarme qui doit pas rentrer avant d’avoir fait 10 PV se trouve comme l’inspecteur de travail dans l’exemple.

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orilou 11 mai 2021 - 8:05

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Ce type d’attitude n’est pas l’apanage de le seule inspection du travail. On peut ajouter les finance, l’Education Nationale n’est pas mal non plus, sans compter le secteur de la santé (hôpitaux)… entre autres ! La France souffre d’un excès de règlements, assorti d’effectifs fonctionnaires pléthoriques aux pouvoirs parfois exorbitants. N’étant quasiment jamais sanctionnés, ils peuvent tout se permettre. La crise du covid a eu pour effet de mettre la situation en évidence.

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Blancard 11 mai 2021 - 10:36

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Cet article me laisse perplexe ! Vous n avez que la version de l employeur et ça fausse le jugement. On juge lorsque l on a tous les tenants et les aboutissants d un contexte et pas exclusivement une version des faits

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Philbert Carbon 11 mai 2021 - 12:36

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Merci à tous les lecteurs pour leurs commentaires passionnés.

En réponse à Blancard, je précise que nous n’avons certes pas interrogé l’inspection du travail, mais notre article a été rédigé avec l’aide de ses mails et courriers. On peut donc considérer que son point de vue a été pris en compte.

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TL 11 mai 2021 - 2:06

Les inspecteurs et inspectrices du travail sont les soupapes de sûreté de la paix sociale
Il y’a plus de 40 ans, j’ai fait mes premiers pas dans diverses inspections du travail de France. J’en garde de bons souvenirs. Par la suite j’ai dirigé divers services publics d’Inspection du travail dans mon pays, à l’échelle régionale et nationale. Les Inspecteurs (ces) du travail que j’ai eu comme collaborateurs ou connus ont, dans la majorité absolue des cas, toujours joué les conseillers des employeurs, des travailleurs et de leurs représentants respectifs. Leurs casquettes de gendarmes verbalisateurs n’apparaissent que s’ils (elles) ne pouvaient faire autrement. D’ailleurs les brillants sont recrutés par les chefs d’entreprises privées.
De plus, ce corps est soumis en France, depuis quelques années, à un code de déontologie qui fixe les droits et les obligations de chaque partie. Le respect et la discrétion constituent les règles de base.
Dans tous les cas on ne peut généraliser l’idéologie anti-patrons de la plupart des inspecteurs du travail. Pour mémoire des inspecteurs du travail ont été tués.
On aurait été bien éclairé si l’auteur de l’article nous a informé de la suite donnée à cette visite d’inspection du travail.
Un petit clin d’œil à IREF : soyez plus sages dans le choix de articles à publier et commencer par mon commentaire.

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Génin 11 mai 2021 - 3:44

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Je suis un heureux retraité !
Un retraité qui n’aura plus jamais ces problèmes ! Yesss !!! Un retraité qui perçoit sa pension avec une régularité de métronome, pendant que d’autres …..
Bref, à 77 ans, je suis devenu, « fonctionnaire », intouchable, immuable et pour la vie …..
incroyable !!!

Tant que l’on formera une profession à bouffer du « salaud » de patron, comme les magistrats, formés à Bordeaux, à saquer de « l’avocat vicieux et menteur », il en sera ainsi.!

Que dans le constat fait par l’inspecteur, lui soit imposé de faire des propositions, des préconisations, si possibles chiffrées, comme en Allemagne.

J’ai connu le temps ou certains jugements se faisaient autour d’une bière, les avocats, le juge, le procureur, et pratiquaient une justice de proximité qui, avec le temps, interdisait la tricherie. une vraie justice !! .

Dans le même genre, le nombre de fonctionnaires de Bercy diminue nettement moins vite que le nombre de contribuables imposés..

Toujours dans le même genre, à la création de la BCE, les banquse centralse de chaque pays ont ……………………………. non ! stop, cela suffit !

Le MAL FRANCAIS, c’est le fonctionnaire ! .

Au, fait, pouvez-vous me dire quel EPIC ne perd pas d’argent ?

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Marcelli 11 mai 2021 - 5:03

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Je reste aussi perplexe face à cet article mettant en avant le témoignage de l’entreprise. On prend le temps de discuter avec cette dernière mais pas avec l’inspecteur : on se contente des mails… Étant moi-même entrepreneur et à la tête de pas mal d’employés, je suis assez choqué par le fait de consentir à ne pas porter le masque au sein de l’entreprise. Ayant eu un cas contact dans la nôtre, le masque et les gestes barrières nous ont permis de tous nous protéger. Et pourtant, nous faisons un métier manuel et le masque est éprouvant ! Le télétravail c’est une chose mais la sécurité est importante et c’est le minimum.

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AlainD 11 mai 2021 - 5:23

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Il n’y a pas -hélas – que l’inspection du travail : la France est un pays où les fonctionnaires sont tout puissants, se retranchant toujours derrière le règlement, la procédure et l’impunité quasi générale dont ils bénéficient. La notion de relation client-fournisseur leur est parfaitement étrangère, le geste commercial tout autant. Pourquoi se gêneraient ils ? L’Etat tout puissant est derrière eux qui les protège de tous ces taillables et corvéables à merci qui n’ont qu’à se soumettre à leur autorité.
Un exemple simple : il y a quelques années, étant entré dans un bureau de poste à 15:55 je souhaitais faire l’envoi d’un colis, or il y avait une personne avant moi en cours de transaction et lorsque mon « tour » arriva il était 16:00 : horaire de fermeture ! J’eus beau insister arguant que mon envoi était important, dans ces « services publics » dont on nous rebat régulièrement les oreilles, PAS DE DEPASSEMENT D’HORAIRE !!!

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layer 12 mai 2021 - 5:27

Mon patron me licencie économiquement et reste avec le cabinet ouvert
Étant en CDI depuis 2017 le 16 mars 2020 je me suis mets en arrêt comme l’état l’avais dit pour garde d’enfant vous le retourner au travail mon patron a voulu que je fasse rupture conventionnelle n’acceptons pas il a décidé fin juin de me faire à licenciement économique son cabinet tourner toujours avec une secrétaire en CDD qui avait été formé en novembre 2019 sachant qu’à ce jour le cabinet reste ouvert toujours

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leadro 13 mai 2021 - 11:10

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Bonjour, je suis inspectrice du travail et je me permets de réagir à cet article.
Sur la formation que l on nous dispense,contrairement à ce que certains commentateurs insinuent,il n y a pas de idéologie de la haine du patron.je comprends que cela puisse faire fantasmer mais non nous ne sommes pas contre les patrons nous sommes juste la pour mieux faire appliquer le code du travail. La majorité d entre nous avons fait des études de droit. Dans les entreprises que nous contrôlons nous avons des problématiques variées des accidents du travail au harcèlement moral ou encore la durée du travail,le spectre est large.
A de très rares exceptions,avant de sanctionner une entreprise nous veillons à ce qu elle puisse régulariser la situation.il ne s agit pas de punir mais d améliorer la situation de manière vertueuse lorsque c est possible.car certes,si une irrégularité à provoquer le deces ou une inaptitude d une personne alors le temps de la pédagogie et de l accompagnement ne suffit pas.
Mon conseil est au lieu de se gargariser dans un discours haineux vis à vis de la inspection du travail c est de ne pas considérer que nous sommes contre les patrons ou les entreprises.les demandes que nous formulons visent aussi à protéger les intérêts de l entreprise :ils permettent de diminuer le risque de mise en cause prudhomale ou pénale les risques de accidents du travail ou maladie professionnelle.
Par contre ce que je déplore c est le manque d appui parallele pour les petits patrons et pme sur la réglementation , on gagnerait en efficacité pour les uns et les autres. Je les invite à adhérer à une association ou syndicat employeur pour être conseillé et aidé afin de ne pas être pris au dépourvu en cas de problème.
Pour conclure sachez que je reçois des remerciements de salariés mais aussi de employeurs,que certains me sollicitent sur des questions épineuses et que mon intérêt comme le leur c est que nous avancions vers une amélioration des situations problematiques.

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T. L. 15 mai 2021 - 9:04

Les inspecteurs et inspectrices du travail sont les soupapes de sûreté de la paix sociale
Bravo collègue LEADRO pour cette brillante description du travail, du rôle et des finalités des missions des Inspecteurs (ces) du Travail : être au service de l’entreprise avec ses deux composantes:
** l’employeur, son propriétaire,
** et les salariés , son capital humain,
et enfin de compte, être au service de la collectivité et de l’économie nationale .

Ils sont responsables, d’une certaine manière, du maintien de l’Ordre Public Social mais pas les seuls. Ils sont les soupapes de sûreté de la paix sociale, comme je l’ai dit dans ma précédente contribution (N° 8).

Dans ces conditions il est rare d’être anti-employeurs ou anti-salariés. La neutralité positive des membres de ce corps est indispensable pour qu’ils puissent réussir dans leurs missions. Leur statut, fixé par des conventions internationales du travail et dont les dispositions sont reprises par les codes du travail des pays qui les ont ratifiées dont La France et mon pays, met l’accent notamment sur ce point. Ceci constitue un atout pour que les Inspecteurs du Travail puissent être acceptés par des parties dont les intérêts sont opposés au sein de la même entreprise.

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zelectron 16 mai 2021 - 6:36

Quand l’inspection du travail fait semblant
@Montesquieu
demandez vous quelle période de sa « carrière » correspond un travail effectif de la poubelle girl de Paname au sein de l’inspection du travail : elle a été immédiatement détachée auprès des instance du sérail bobo-socialo, payée à 100%, fonctionnaire, primes et avantages conservés et même étendus lorsque c’était possible (symposium à l’étranger, séminaires pas du tout chez les carmélites . . . .)

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ED 16 mai 2021 - 1:31

Réponse à TL (réponse 8)
Chère Madame,
Cher Monsieur,
nous ne sommes pas dupes! Non votre institution n’est pas celle que vous décrivez. Et vous le savez parfaitement. Il est bien connu, et en particulier dans le 93, que l’inspection du travail ne répond qu’aux ordres de certains syndicats. Et notamment à celui de la CGT. Ce sont eu vos patrons de l’ombre. Vous intervenez sous leurs ordres et seulement ceux là.
C’est comme cela que cela se passe et pas autrement.
Les inspecteurs du travail reportent officiellement au ministre du travail. Quelle aubaine pour votre pouvoir de nuire à votre pays. Le ministre n’intervient jamais aux demandes des dirigeants contre vos abus! Vous profitez de cette hérésie managériale! Oui grâce à cela, vous avez les pleins pouvoirs de nuisance.
Votre institution est une honte pour notre république. Non pas parce que dans son principe, votre institution devrait être équitable et juste mais parce qu’elle est pervertie par des ambitions politiques douteuses.
Souvenez vous des salariés protégés qui ont abusé de leur pouvoir pour mettre en place un système mafieux. Vous les avez tous protégés en refusant les demandes de licenciements des dirigeants qui n’en pouvaient plus.
J’ai vu des dirigeants rentrer en dépression, d’autre abandonner leur projet de poursuivre leur parcours à créer plus d’emploi pour le 93.
Oui des dirigeants raccompagnés chez eu le soir, parfois plusieurs fois par semaine, par la police pour assurer leur sécurité. Vous êtes la soupape de rien du tout! Et certainement pas de l’idéologie républicaine de notre pays qui je vous le rappelle est liberté, égalité, fraternité.
Vous faites partis des derniers fonctionnaires ayant un comportement les plus suspicieux, les plus engagés pour des causes politiques extrémistes et radicales. Oui, j’ose l’écrire le comportement de votre institution est comparable ce celle des institutions des heures les plus sombres de notre pays. Heureusement votre pouvoir de nuisance est moins puissant mais il est en tout point similaire dans sa méthodologie. Vous êtes la honte de notre pays car vos méthodes sont plus que contestables et vous vous opposez à la survie économique de votre pays.
Ce n’est pas par ambition politique que je vous réponds mais bien parce que j’ai subi de plein fouet le pouvoir de nuisance de vos collègues. Je fais parti des victimes de votre institution mais mon combat pour la survie de mon projet se poursuit et jamais je ne céderai à vos excès.

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Obeguyx 18 mai 2021 - 12:48

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Lorsque j’étais entrepreneur, je n’ai reçu qu’une fois la visite de ces olibrius.
Je peux vous garantir qu’ils ne sont jamais réapparus. Mes réponses ont été directes à leurs endroits respectifs, comme leurs demandes étaient faites à mon endroit (patron). Ces courageux hommes (employés à vie) ne m’ont même pas envoyé le rapport promis et ont sûrement fini de se liquéfier dans leurs bureaux munis de leur « charentaises » (réponse du berger à la bergère transformée en sorcière). Je n’ai que mépris pour ce genre d’individus.

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Philbert Carbon 27 mai 2021 - 7:20

Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie
Suite de l’article et réponses à nos lecteurs : https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/article/Quand-des-inspecteurs-du-travail-repondent-a-l-IREF

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